Trois conventions pour un avenir bilingue :
Dans son discours, Hajoui a souligné l'importance d'une action collective et organisée, mettant l'accent sur la nécessité de diffuser les textes législatifs en amazigh. Il a rappelé que l’intégration de cette langue dans les documents officiels est non seulement une question de justice linguistique, mais également une responsabilité nationale partagée. Les conventions signées prévoient des sessions de formation pour les cadres du SGG, le recrutement de spécialistes en langue amazighe, et la traduction de textes juridiques essentiels.
La première convention se concentre sur l’exécution du programme gouvernemental pour officialiser l’amazigh dans l’administration et la législation. La deuxième vise à renforcer la coopération entre le SGG et l’IRCAM, tandis que la troisième se concentre sur le développement de la traduction juridique et l’accompagnement des institutions publiques.
Amal El Fallah Seghrouchni, ministre déléguée chargée de la Transition numérique, a également pris la parole pour rappeler l’engagement de son département dans ce projet ambitieux. Elle a insisté sur l’importance de développer des outils de rédaction juridique en amazigh et d’assurer une formation adéquate pour garantir l’égalité d’accès au droit.
Cette journée d’étude a également permis d’explorer les défis et les opportunités liés à l’intégration de l’amazigh dans le système juridique, avec des débats enrichissants entre acteurs institutionnels et académiques. L’objectif final est de garantir que la langue amazighe, en tant que langue officielle, soit pleinement intégrée dans tous les aspects de la vie publique et juridique au Maroc.
La première convention se concentre sur l’exécution du programme gouvernemental pour officialiser l’amazigh dans l’administration et la législation. La deuxième vise à renforcer la coopération entre le SGG et l’IRCAM, tandis que la troisième se concentre sur le développement de la traduction juridique et l’accompagnement des institutions publiques.
Amal El Fallah Seghrouchni, ministre déléguée chargée de la Transition numérique, a également pris la parole pour rappeler l’engagement de son département dans ce projet ambitieux. Elle a insisté sur l’importance de développer des outils de rédaction juridique en amazigh et d’assurer une formation adéquate pour garantir l’égalité d’accès au droit.
Cette journée d’étude a également permis d’explorer les défis et les opportunités liés à l’intégration de l’amazigh dans le système juridique, avec des débats enrichissants entre acteurs institutionnels et académiques. L’objectif final est de garantir que la langue amazighe, en tant que langue officielle, soit pleinement intégrée dans tous les aspects de la vie publique et juridique au Maroc.