Lancé en juin 2024, ce prix s’adresse aux photographes marocains âgés de 18 à 35 ans, qui résident au Maroc ou à l’étranger. Plus qu’une simple compétition, ce prix se veut un tremplin pour ces photographes en quête de visibilité, leur permettant de dévoiler leurs univers créatifs et de contribuer à la richesse culturelle du pays. Jaâfar Akil, président de l’AMAP, souligne que cette initiative vise à encourager l’émergence d’une nouvelle génération d’artistes capables de porter haut les couleurs de la photographie marocaine contemporaine. Selon lui, cette discipline se distingue par sa pluralité et sa diversité, un reflet fidèle de la mosaïque culturelle du Maroc.
Un aspect fascinant de cette scène artistique est l’absence de contraintes imposées par un marché de l’art structuré. Cette liberté permet aux photographes d’explorer sans entraves, laissant libre cours à leur imagination. Pour Akil, cette authenticité est un atout majeur qui confère à la photographie marocaine une vitalité unique.
Parmi les lauréats, Ismail Jaddi, détenteur du premier prix, se démarque avec sa série en noir et blanc intitulée « Sans Fin ». Ce choix esthétique traduit sa quête d’une expression brute et sincère de la réalité. Ému, il dédie son prix à sa mère en ce jour spécial de son anniversaire. Mourad Fedouache, deuxième lauréat, explore quant à lui les bidonvilles marocains à travers son projet « Shanty (La Rue) », une démarche visant à immortaliser ces espaces chargés d’histoires avant qu’ils ne disparaissent. Enfin, Ilyass Baha, troisième lauréat, s’intéresse à la relation entre l’humain et son environnement. Ses clichés en noir et blanc révèlent une profondeur poétique qui transcende la réalité.
À travers ce prix, la Fondation CDG et l’AMAP offrent une fenêtre sur l’avenir prometteur de la photographie marocaine, tout en célébrant la richesse culturelle et artistique du royaume.
Un aspect fascinant de cette scène artistique est l’absence de contraintes imposées par un marché de l’art structuré. Cette liberté permet aux photographes d’explorer sans entraves, laissant libre cours à leur imagination. Pour Akil, cette authenticité est un atout majeur qui confère à la photographie marocaine une vitalité unique.
Parmi les lauréats, Ismail Jaddi, détenteur du premier prix, se démarque avec sa série en noir et blanc intitulée « Sans Fin ». Ce choix esthétique traduit sa quête d’une expression brute et sincère de la réalité. Ému, il dédie son prix à sa mère en ce jour spécial de son anniversaire. Mourad Fedouache, deuxième lauréat, explore quant à lui les bidonvilles marocains à travers son projet « Shanty (La Rue) », une démarche visant à immortaliser ces espaces chargés d’histoires avant qu’ils ne disparaissent. Enfin, Ilyass Baha, troisième lauréat, s’intéresse à la relation entre l’humain et son environnement. Ses clichés en noir et blanc révèlent une profondeur poétique qui transcende la réalité.
À travers ce prix, la Fondation CDG et l’AMAP offrent une fenêtre sur l’avenir prometteur de la photographie marocaine, tout en célébrant la richesse culturelle et artistique du royaume.


