La présente crise sanitaire a montré les vertus de la digitalisation et notre mode d'organisation de travail ne manquera pas de subir la fatalité de la révolution numérique post-pandémie. 

Le télétravail ou « la besogne numérique » s’annonce de plus en plus comme la nouvelle règle et la robotisation en cours finira par réduire sinon supprimer le travail manuel. Si le travail à distance semble réjouissant et accommodant pour les uns, il n’en demeure pas moins qu’il peut s’avérer plus accablant pour les autres au moins psychologiquement, car rien ne saura compenser la sociabilité et la chaleur humaine qui règnent dans l’enceinte du travail. 

Certes, travailler chez soi a permis à l’activité économique d’éviter la crise cardiaque et résister ainsi aux assauts du Coronavirus, mais l’homme post-Covid ne saura trouver son bonheur dans la routine du travail en ligne.

Rédigé par Anass Machloukh le Mardi 15 Septembre 2020 sur www.lopinion.ma