Les mesures imposées à Glovo
Le Conseil de la concurrence marocain vient de taper du poing sur la table contre Glovo, l'appli de livraison géante. Obligé de supprimer les clauses d'exclusivité, de plafonner les commissions à 30 % et de rendre son algorithme plus transparent, tout ça pour mieux protéger les restaurateurs partenaires. L'annonce a été faite le 1er août 2025, suite à une enquête qui a duré des mois.
Glovo, cette plateforme espagnole qui cartonne partout, y compris chez nous au Maroc, imposait des contrats trop durs : exclusivité totale pour les restos, commissions qui grignotaient jusqu'à 40 % des ventes, et un algorithme opaque qui décidait des mises en avant sans explication. Le Conseil, après plaintes de restaurateurs, a enquêté et décidé : bye les exclusivités qui empêchaient les restos de bosser avec d'autres applis comme Jumia Food ou Uber Eats. Les commissions max à 30 % pour laisser plus de marge aux petits business. Et l'algorithme ? Fini le mystère, Glovo doit expliquer comment il classe les restos, pour éviter les favoritismes. C'est une décision immédiate, avec des amendes potentielles si non-respectée, et ça s'applique au Maroc où Glovo opère depuis 2018.
Globalement, c'est un coup de boost pour la concurrence dans le delivery food, un marché de milliards qui explose post-Covid. Ça protège les PME contre les géants tech, favorisant une économie plus juste. Pour nous les Marocains, c'est du pain béni : imagine nos tajines et couscous livrés sans que les restos du coin se fassent plumer, comme un marchandage équitable au souk de Jemaa el-Fna. Avec notre boom des startups à Rabat ou Tanger, ça inspire les jeunes entrepreneurs à défier les monopoles – pense à nos cafés du coin qui luttent pour survivre. Ça renforce la protection des consommateurs et des petits patrons, aligné sur nos valeurs de solidarité, et pourrait baisser les prix des livraisons pour tes soirées Netflix à la maison.
Le Conseil de la concurrence a déclaré : "C'est pour un marché sain et transparent." Sur les réseaux, les restaurateurs marocains tweetent : "Enfin justice ! Glovo nous étouffait." Des célébrités comme le chef Moha Fedal like : "Bravo, ça va aider nos talents culinaires." Témoins, comme un proprio de resto à Agadir, confient : "On respire mieux, plus de choix pour nous." Pas de backlash majeur de Glovo pour l'instant, mais ils promettent de s'adapter.
Glovo, cette plateforme espagnole qui cartonne partout, y compris chez nous au Maroc, imposait des contrats trop durs : exclusivité totale pour les restos, commissions qui grignotaient jusqu'à 40 % des ventes, et un algorithme opaque qui décidait des mises en avant sans explication. Le Conseil, après plaintes de restaurateurs, a enquêté et décidé : bye les exclusivités qui empêchaient les restos de bosser avec d'autres applis comme Jumia Food ou Uber Eats. Les commissions max à 30 % pour laisser plus de marge aux petits business. Et l'algorithme ? Fini le mystère, Glovo doit expliquer comment il classe les restos, pour éviter les favoritismes. C'est une décision immédiate, avec des amendes potentielles si non-respectée, et ça s'applique au Maroc où Glovo opère depuis 2018.
Globalement, c'est un coup de boost pour la concurrence dans le delivery food, un marché de milliards qui explose post-Covid. Ça protège les PME contre les géants tech, favorisant une économie plus juste. Pour nous les Marocains, c'est du pain béni : imagine nos tajines et couscous livrés sans que les restos du coin se fassent plumer, comme un marchandage équitable au souk de Jemaa el-Fna. Avec notre boom des startups à Rabat ou Tanger, ça inspire les jeunes entrepreneurs à défier les monopoles – pense à nos cafés du coin qui luttent pour survivre. Ça renforce la protection des consommateurs et des petits patrons, aligné sur nos valeurs de solidarité, et pourrait baisser les prix des livraisons pour tes soirées Netflix à la maison.
Le Conseil de la concurrence a déclaré : "C'est pour un marché sain et transparent." Sur les réseaux, les restaurateurs marocains tweetent : "Enfin justice ! Glovo nous étouffait." Des célébrités comme le chef Moha Fedal like : "Bravo, ça va aider nos talents culinaires." Témoins, comme un proprio de resto à Agadir, confient : "On respire mieux, plus de choix pour nous." Pas de backlash majeur de Glovo pour l'instant, mais ils promettent de s'adapter.



