Rédigé par Said Temsamani
Il y a des moments où le discours politique devient plus qu’une simple analyse : il se transforme en rappel à l’ordre collectif. Le dernier discours royal, prononcé à l’occasion du vingt-sixième anniversaire de l’accession au Trône, en est un exemple éclatant. En dix minutes à peine, le Souverain a mis le doigt sur l’un des angles morts les plus préoccupants de notre modèle de développement : ces zones entières du pays, en particulier rurales, qui continuent de subir pauvreté, enclavement et précarité, faute d’infrastructures et d’équipements de base.
Ce constat n’est pas anecdotique. Il sonne comme une alerte et une exigence. Car un Maroc où l’on naît avec moins de chances de réussir selon que l’on vive à Ouarzazate ou à Casablanca n’est pas le Maroc que nous voulons bâtir. « Il n’y a pas de place pour un Maroc avançant à deux vitesses » a martelé le Roi. Et c’est exactement le combat que le Parti de l’Istiqlal mène depuis des décennies.
Notre engagement est clair : faire de l’équité territoriale une priorité nationale, non pas dans les discours, mais dans les actes. Nous ne voulons plus d’un développement qui laisse des régions à la traîne. Nous voulons des programmes qui brisent les fractures territoriales :
Ce constat n’est pas anecdotique. Il sonne comme une alerte et une exigence. Car un Maroc où l’on naît avec moins de chances de réussir selon que l’on vive à Ouarzazate ou à Casablanca n’est pas le Maroc que nous voulons bâtir. « Il n’y a pas de place pour un Maroc avançant à deux vitesses » a martelé le Roi. Et c’est exactement le combat que le Parti de l’Istiqlal mène depuis des décennies.
Notre engagement est clair : faire de l’équité territoriale une priorité nationale, non pas dans les discours, mais dans les actes. Nous ne voulons plus d’un développement qui laisse des régions à la traîne. Nous voulons des programmes qui brisent les fractures territoriales :
- Relier les territoires pour relier les destins : routes, rail, mobilité scolaire et rurale.
- Garantir la dignité des citoyens partout : santé de proximité, eau, électricité, internet.
- Protéger l’avenir des enfants : internats, transports scolaires modernes, aides conditionnées pour réduire la déperdition.
L’appel du Trône est un rappel de notre devoir collectif. L’Istiqlal ne se contentera pas d’applaudir ; il propose un chemin, un calendrier et une vision. Car le Maroc n’a pas le luxe d’attendre : chaque jour qui passe sans action creuse l’écart et alimente les frustrations.
Notre message est sans ambiguïté : un pays ne se développe vraiment que si chaque territoire, du plus enclavé au plus dynamique, avance ensemble. Et l’Istiqlal sera en première ligne pour s’assurer que cette promesse se traduise en réalités palpables.