Un rêve devenu réalité : Diro Nia, comme à Qatar !
C’est une grande première. Le drapeau marocain flottera cette année à la Dance World Cup 2025, l’un des plus grands concours de danse pour jeunes talents dans le monde. Plus de soixante pays seront représentés, mais cette édition est spéciale pour le Royaume. Pour la première fois, une délégation marocaine y participera, emmenée par un groupe de jeunes danseuses passionnées venues défendre les couleurs du pays à travers un art souvent mal compris, parfois dénigré, mais profondément enraciné dans notre culture : la danse orientale.
La danse orientale enfin reconnue comme danse folklorique
C’est un autre événement marquant. Jusqu’alors classée à part ou même exclue dans certains concours internationaux, la danse orientale a cette année été acceptée officiellement dans la catégorie "danses folkloriques" de la compétition. Cette reconnaissance marque une avancée considérable pour la visibilité des traditions corporelles issues du monde arabo-berbère, souvent réduites à des clichés. Le Maroc, avec sa richesse chorégraphique et son héritage musical unique, entre ainsi par la grande porte.
Une jeunesse qui danse l’identité
Les jeunes danseuses marocaines engagées dans cette compétition ne sont pas seulement des artistes : elles sont les ambassadrices d’une culture vivante, en mouvement. Elles dansent la féminité, la mémoire, l’histoire. Issues de différentes régions du pays, elles ont été formées dans des écoles locales de danse ou par des passionnées indépendantes, souvent en autodidactes. Leur présence à la Dance World Cup est le fruit de leur détermination, de celle de leurs familles et de quelques encadrants qui ont cru en elles.
La danse orientale enfin reconnue comme danse folklorique
C’est un autre événement marquant. Jusqu’alors classée à part ou même exclue dans certains concours internationaux, la danse orientale a cette année été acceptée officiellement dans la catégorie "danses folkloriques" de la compétition. Cette reconnaissance marque une avancée considérable pour la visibilité des traditions corporelles issues du monde arabo-berbère, souvent réduites à des clichés. Le Maroc, avec sa richesse chorégraphique et son héritage musical unique, entre ainsi par la grande porte.
Une jeunesse qui danse l’identité
Les jeunes danseuses marocaines engagées dans cette compétition ne sont pas seulement des artistes : elles sont les ambassadrices d’une culture vivante, en mouvement. Elles dansent la féminité, la mémoire, l’histoire. Issues de différentes régions du pays, elles ont été formées dans des écoles locales de danse ou par des passionnées indépendantes, souvent en autodidactes. Leur présence à la Dance World Cup est le fruit de leur détermination, de celle de leurs familles et de quelques encadrants qui ont cru en elles.
"Diro Nia", comme à Qatar…
L’expression "Diro Nia", devenue virale durant le Mondial qatari, résonne à nouveau. Elle incarne cette foi tranquille et collective qu’un rêve sincère, porté avec le cœur, peut devenir réalité. À défaut de crampons, ce sont des voiles, des ceintures perlées et des rythmes envoûtants qui seront cette fois sur le devant de la scène. Et si le ballon rond a su unir tout un peuple, pourquoi la danse ne pourrait-elle pas faire de même ?
Derrière ces pas chorégraphiés, il y a un message plus large : celui d’un Maroc qui ose affirmer ses traditions dans un cadre mondial, qui encourage ses filles à s’exprimer à travers l’art, et qui reconnaît la puissance douce de la culture. Cette participation à la Dance World Cup 2025 pourrait bien ouvrir la voie à d’autres talents, à d’autres formes d’expression longtemps restées dans l’ombre.
Quelle que soit l’issue du concours, une chose est certaine : ces jeunes danseuses marocaines ont déjà gagné. Elles ont ouvert une brèche, dessiné un pas de danse entre tradition et modernité, entre fierté nationale et ouverture internationale. Il ne reste plus qu’à leur souhaiter bonne chance — et à les soutenir comme on soutient les grandes équipes. Parce que danser, c’est aussi porter haut la voix d’un peuple. Bravo à elles. Et vive la danse marocaine.
Derrière ces pas chorégraphiés, il y a un message plus large : celui d’un Maroc qui ose affirmer ses traditions dans un cadre mondial, qui encourage ses filles à s’exprimer à travers l’art, et qui reconnaît la puissance douce de la culture. Cette participation à la Dance World Cup 2025 pourrait bien ouvrir la voie à d’autres talents, à d’autres formes d’expression longtemps restées dans l’ombre.
Quelle que soit l’issue du concours, une chose est certaine : ces jeunes danseuses marocaines ont déjà gagné. Elles ont ouvert une brèche, dessiné un pas de danse entre tradition et modernité, entre fierté nationale et ouverture internationale. Il ne reste plus qu’à leur souhaiter bonne chance — et à les soutenir comme on soutient les grandes équipes. Parce que danser, c’est aussi porter haut la voix d’un peuple. Bravo à elles. Et vive la danse marocaine.