Coop Afrique : Maroc offre 200 places pour l'avenir
C'est une initiative concrète de soft power : ces 200 bourses couvrent des domaines comme l'ingénierie, la médecine ou l'agro, permettant à des jeunes Nigériens d'étudier dans nos unis comme Mohammed V à Rabat ou Cadi Ayyad à Marrakech. Annoncée par le ministère des Affaires étrangères, elle s'inscrit dans une stratégie plus large de coopération Sud-Sud, avec des frais de scolarité, logement et même allocations pris en charge. Ça fait suite à des accords bilatéraux récents, et les candidatures devraient ouvrir bientôt via l'AMCI (Agence Marocaine de Coopération Internationale).
Globalement, c'est un investissement dans l'avenir de l'Afrique, formant des élites qui reviendront booster leurs pays. Pour le Maroc, safi c'est stratégique : on attire des talents, on exporte notre modèle éducatif, et on renforce notre influence continentale, comme avec la CAN où on unit les forces. Ça touche directement les jeunes Marocains curieux d'Afrique – imaginez des échanges culturels dans les campus, ou des opportunités de business futurs avec le Niger en minéraux ou agriculture. Pour la diaspora, c'est un signal positif de solidarité, et ça booste notre image comme hub éducatif, attirant plus d'étudiants étrangers (déjà 18.000 par an).
Depuis les années 1960, le Maroc offre des bourses africaines ; en 2020, on en a accordé des milliers post-pandémie ; 2025-2026 cible le Niger pour consolider des liens après des visites royales et accords économiques.
Sur LinkedIn et Facebook, des étudiants africains partagent leur excitation avec #BoursesMaroc, et des officiels nigériens remercient publiquement. Pas de citation précise, mais des médias comme Hespress soulignent le geste diplomatique. Les unis marocaines préparent l'accueil, avec un buzz positif chez les jeunes.
Globalement, c'est un investissement dans l'avenir de l'Afrique, formant des élites qui reviendront booster leurs pays. Pour le Maroc, safi c'est stratégique : on attire des talents, on exporte notre modèle éducatif, et on renforce notre influence continentale, comme avec la CAN où on unit les forces. Ça touche directement les jeunes Marocains curieux d'Afrique – imaginez des échanges culturels dans les campus, ou des opportunités de business futurs avec le Niger en minéraux ou agriculture. Pour la diaspora, c'est un signal positif de solidarité, et ça booste notre image comme hub éducatif, attirant plus d'étudiants étrangers (déjà 18.000 par an).
Depuis les années 1960, le Maroc offre des bourses africaines ; en 2020, on en a accordé des milliers post-pandémie ; 2025-2026 cible le Niger pour consolider des liens après des visites royales et accords économiques.
Sur LinkedIn et Facebook, des étudiants africains partagent leur excitation avec #BoursesMaroc, et des officiels nigériens remercient publiquement. Pas de citation précise, mais des médias comme Hespress soulignent le geste diplomatique. Les unis marocaines préparent l'accueil, avec un buzz positif chez les jeunes.



