Casablanca, 18 juin 2025, Le Maroc, carrefour des ambitions régionales américaines ?
Une rencontre qui pourrait bien marquer un tournant dans les échanges maroco-américains. Ce mardi, la Confédération Marocaine des Exportateurs (ASMEX) a accueilli une délégation d’hommes d’affaires venus du Mississippi, emmenée par Bill Cork, ministre du Développement économique de cet État américain. Objectif : nouer des liens directs, concrets, et porteurs d’avenir.
Fini les échanges de politesse, place aux affaires. Au menu : intelligence artificielle, pharma, agro, énergies vertes, tourisme ou encore cinéma. Autant de secteurs où le Mississippi cherche à coopérer avec le Maroc, et où les entrepreneurs marocains peuvent trouver des opportunités inédites.
Ce rapprochement symbolise aussi un changement d’échelle : les relations ne passent plus uniquement par Washington, mais s’ancrent localement, entre États et régions, sur des projets tangibles. Une vraie montée en puissance de la diplomatie économique décentralisée.
L’ASMEX, fidèle à son rôle de pont entre les entreprises marocaines et le reste du monde, se positionne en catalyseur de projets concrets : partenariats industriels, co-développement, implantation de structures... L’ambition est claire : transformer cette visite en levier durable de croissance commune.
Si le Mississippi ouvre la voie, d’autres États fédérés américains observent le Maroc avec un intérêt croissant. Sa stabilité politique, ses zones industrielles bien connectées, et sa politique ambitieuse en matière d’énergies renouvelables en font une plateforme idéale pour conquérir les marchés africains et européens.
Cette dynamique entre États fédérés US et régions marocaines illustre une nouvelle forme de diplomatie économique, plus agile et directe, loin des lourdeurs bureaucratiques classiques.
Le Maroc peut ainsi devenir un hub stratégique non seulement pour les multinationales, mais aussi pour les PME américaines en quête d’internationalisation intelligente. Une tendance à surveiller de près.
Fini les échanges de politesse, place aux affaires. Au menu : intelligence artificielle, pharma, agro, énergies vertes, tourisme ou encore cinéma. Autant de secteurs où le Mississippi cherche à coopérer avec le Maroc, et où les entrepreneurs marocains peuvent trouver des opportunités inédites.
Ce rapprochement symbolise aussi un changement d’échelle : les relations ne passent plus uniquement par Washington, mais s’ancrent localement, entre États et régions, sur des projets tangibles. Une vraie montée en puissance de la diplomatie économique décentralisée.
L’ASMEX, fidèle à son rôle de pont entre les entreprises marocaines et le reste du monde, se positionne en catalyseur de projets concrets : partenariats industriels, co-développement, implantation de structures... L’ambition est claire : transformer cette visite en levier durable de croissance commune.
Si le Mississippi ouvre la voie, d’autres États fédérés américains observent le Maroc avec un intérêt croissant. Sa stabilité politique, ses zones industrielles bien connectées, et sa politique ambitieuse en matière d’énergies renouvelables en font une plateforme idéale pour conquérir les marchés africains et européens.
Cette dynamique entre États fédérés US et régions marocaines illustre une nouvelle forme de diplomatie économique, plus agile et directe, loin des lourdeurs bureaucratiques classiques.
Le Maroc peut ainsi devenir un hub stratégique non seulement pour les multinationales, mais aussi pour les PME américaines en quête d’internationalisation intelligente. Une tendance à surveiller de près.