Jordan Bardella parle d’une “nouvelle opération de harcèlement judiciaire”
Coup de pression au sommet de la politique française ! Ce mercredi, la brigade financière a débarqué au siège du Rassemblement national à Paris. Jordan Bardella dénonce une “nouvelle opération de harcèlement”, alors que la justice enquête sur les finances du parti. Une affaire qui fait du bruit jusqu’au Maroc.
À l’aube, une vingtaine de policiers de la brigade financière, accompagnés de deux juges d’instruction, ont investi le siège du RN à Paris. Leur mission ? Saisir des documents sur le financement des campagnes présidentielles et législatives de 2022, ainsi que des européennes de 2024. Le parquet de Paris précise que l’enquête vise à vérifier la régularité des comptes du parti, déjà sous surveillance depuis plusieurs années pour ses méthodes de financement.
Jordan Bardella, président du RN, n’a pas mâché ses mots : pour lui, cette perquisition est “une nouvelle opération de harcèlement judiciaire” contre son parti. Sur X (ex-Twitter), il accuse les autorités de vouloir “affaiblir le mouvement” à chaque échéance politique importante. Pour les militants RN, ce n’est pas une première : ils dénoncent une accumulation de procédures, qu’ils considèrent comme des tentatives répétées de déstabilisation.
Au Maroc, la politique française fascine toujours, surtout quand il s’agit du RN, connu pour ses positions tranchées sur l’immigration et le Maghreb. Mais au-delà, cette affaire relance le débat sur l’équilibre entre justice indépendante et instrumentalisation politique. Nombreux sont les jeunes Marocains à faire le parallèle avec certaines affaires locales où la frontière entre poursuite judiciaire et pression politique semble parfois floue.
En France, le camp RN monte au créneau et parle de “justice à deux vitesses”. D’autres voix rappellent que “personne n’est au-dessus des lois” et que la transparence financière est primordiale, surtout en période électorale. Sur les réseaux marocains, on s’interroge : harcèlement ou simple contrôle nécessaire ? Le débat fait rage, entre ceux qui dénoncent un acharnement contre les partis “anti-système” et ceux qui saluent la rigueur de la justice française.
Le RN promet de se défendre sur tous les fronts, médias compris. Bardella prépare déjà la riposte, dénonçant une justice “aux ordres” et appelant ses supporters à rester mobilisés. De son côté, la justice française assure vouloir aller “jusqu’au bout” de l’enquête. Ce bras de fer judiciaire et politique risque de durer, et d’alimenter les discussions bien au-delà des frontières françaises.
Harcèlement ou simple application de la loi ? L’affaire du RN secoue la France et interroge aussi de ce côté de la Méditerranée. La politique, c’est aussi une histoire de perceptions et de communication. Et vous, vous penchez pour quelle version ? Affaire à suivre, sur fond de tension politique grandissante.
À l’aube, une vingtaine de policiers de la brigade financière, accompagnés de deux juges d’instruction, ont investi le siège du RN à Paris. Leur mission ? Saisir des documents sur le financement des campagnes présidentielles et législatives de 2022, ainsi que des européennes de 2024. Le parquet de Paris précise que l’enquête vise à vérifier la régularité des comptes du parti, déjà sous surveillance depuis plusieurs années pour ses méthodes de financement.
Jordan Bardella, président du RN, n’a pas mâché ses mots : pour lui, cette perquisition est “une nouvelle opération de harcèlement judiciaire” contre son parti. Sur X (ex-Twitter), il accuse les autorités de vouloir “affaiblir le mouvement” à chaque échéance politique importante. Pour les militants RN, ce n’est pas une première : ils dénoncent une accumulation de procédures, qu’ils considèrent comme des tentatives répétées de déstabilisation.
Au Maroc, la politique française fascine toujours, surtout quand il s’agit du RN, connu pour ses positions tranchées sur l’immigration et le Maghreb. Mais au-delà, cette affaire relance le débat sur l’équilibre entre justice indépendante et instrumentalisation politique. Nombreux sont les jeunes Marocains à faire le parallèle avec certaines affaires locales où la frontière entre poursuite judiciaire et pression politique semble parfois floue.
En France, le camp RN monte au créneau et parle de “justice à deux vitesses”. D’autres voix rappellent que “personne n’est au-dessus des lois” et que la transparence financière est primordiale, surtout en période électorale. Sur les réseaux marocains, on s’interroge : harcèlement ou simple contrôle nécessaire ? Le débat fait rage, entre ceux qui dénoncent un acharnement contre les partis “anti-système” et ceux qui saluent la rigueur de la justice française.
Le RN promet de se défendre sur tous les fronts, médias compris. Bardella prépare déjà la riposte, dénonçant une justice “aux ordres” et appelant ses supporters à rester mobilisés. De son côté, la justice française assure vouloir aller “jusqu’au bout” de l’enquête. Ce bras de fer judiciaire et politique risque de durer, et d’alimenter les discussions bien au-delà des frontières françaises.
Harcèlement ou simple application de la loi ? L’affaire du RN secoue la France et interroge aussi de ce côté de la Méditerranée. La politique, c’est aussi une histoire de perceptions et de communication. Et vous, vous penchez pour quelle version ? Affaire à suivre, sur fond de tension politique grandissante.
