Le festival s'offre un relooking
Après une longue absence, Jidar s'offre une nouvelle image en changeant son logo et en transformant l'appellation : «Jidar, toiles de rue» en «Jidar -Rabat Street Art Festival». Jidar profite de cette nouvelle édition pour lancer une version améliorée de son application mobile qui donne aux utilisateurs la possibilité de découvrir les fresques réalisées lors des cinq dernières éditions et d'avoir une idée sur les 9 lieux choisis cette année.
Le festival s’associe à des institutions culturelles telles que le Musée Mohamed VI d’art moderne et contemporain, ainsi que des espaces d’art tels que la galerie d’art Le Cube – Independent Art Room et l’association culturelle D’Art Louane.
Jidar, un rendez-vous des artistes
Chaque édition, le festival regroupe une kyrielle de street artistes nationaux et internationaux. Ils sont une vingtaine cette année représentant 6 pays différents, au cœur de la capital, « non seulement pour rehausser son éclat, mais aussi pour raconter notre monde à travers des créations frappées au coin du bon sens contemporain », précise les organisateurs.
Le festival ne se limite pas aux fresques murales, il comporte également des rencontres avec plusieurs artistes invités pour favoriser le partage, l’échange et la transmission de l'art.
Le street art au Maroc
Grâce à Jidar, Rabat est ornée d'œuvres d'art. En se promenant à l'Océan, Qebibat ou encore à Hassan, les rbatis témoignent la beauté de différents styles artistiques et la créativité des artistes. Le street art a connu un essor dernièrement et commence à être appréciée par le public. Cependant, il reste encore du travail à faire pour protéger le travail des street-artistes.
Mourad Rachendali a vu son œuvre vandalisée, par les habitants d’un immeuble à Salé, alors qu'il venait de l'achever. Notant que l'artiste a été mandaté par une entreprise de la gestion déléguée ainsi que la municipalité de Sidi Bouknadel pour une fresque donnant sur la Plage des nations. Aucune explication n'a été avancée par les habitants.
LODJ avec Hespress
Le festival s’associe à des institutions culturelles telles que le Musée Mohamed VI d’art moderne et contemporain, ainsi que des espaces d’art tels que la galerie d’art Le Cube – Independent Art Room et l’association culturelle D’Art Louane.
Jidar, un rendez-vous des artistes
Chaque édition, le festival regroupe une kyrielle de street artistes nationaux et internationaux. Ils sont une vingtaine cette année représentant 6 pays différents, au cœur de la capital, « non seulement pour rehausser son éclat, mais aussi pour raconter notre monde à travers des créations frappées au coin du bon sens contemporain », précise les organisateurs.
Le festival ne se limite pas aux fresques murales, il comporte également des rencontres avec plusieurs artistes invités pour favoriser le partage, l’échange et la transmission de l'art.
Le street art au Maroc
Grâce à Jidar, Rabat est ornée d'œuvres d'art. En se promenant à l'Océan, Qebibat ou encore à Hassan, les rbatis témoignent la beauté de différents styles artistiques et la créativité des artistes. Le street art a connu un essor dernièrement et commence à être appréciée par le public. Cependant, il reste encore du travail à faire pour protéger le travail des street-artistes.
Mourad Rachendali a vu son œuvre vandalisée, par les habitants d’un immeuble à Salé, alors qu'il venait de l'achever. Notant que l'artiste a été mandaté par une entreprise de la gestion déléguée ainsi que la municipalité de Sidi Bouknadel pour une fresque donnant sur la Plage des nations. Aucune explication n'a été avancée par les habitants.
LODJ avec Hespress