Du 5 au 9 mai, Rabat devient la capitale du qanoun, cet instrument mythique qui fait vibrer l'Orient et le Maghreb. Entre masterclass, concerts et débats, l'Académie du Royaume et le centre "Riad Al Qanoun" célèbrent les origines et l'évolution de cet instrument fascinant.
Le qanoun, une histoire entre l’Orient et l’Occident
Tu ne connais pas encore le qanoun ? Cet instrument à cordes, souvent décrit comme "l’âme de la musique orientale", est un pilier des orchestres traditionnels du monde arabe. Mais derrière son apparente simplicité se cache un univers complexe, mêlant technique, émotion et improvisation.
Pour mettre en lumière ce trésor musical, l’Académie du Royaume organise un festival international dédié au qanoun, avec pour thème : "Les origines, la diffusion et l’unicité musicale entre l’Orient et l’Occident". L’objectif ? Former une nouvelle génération de musiciens marocains, tout en explorant les liens entre les traditions orientales et occidentales.
Le qanoun, une histoire entre l’Orient et l’Occident
Tu ne connais pas encore le qanoun ? Cet instrument à cordes, souvent décrit comme "l’âme de la musique orientale", est un pilier des orchestres traditionnels du monde arabe. Mais derrière son apparente simplicité se cache un univers complexe, mêlant technique, émotion et improvisation.
Pour mettre en lumière ce trésor musical, l’Académie du Royaume organise un festival international dédié au qanoun, avec pour thème : "Les origines, la diffusion et l’unicité musicale entre l’Orient et l’Occident". L’objectif ? Former une nouvelle génération de musiciens marocains, tout en explorant les liens entre les traditions orientales et occidentales.
Masterclass, concerts et débats : un programme riche en vibrations
Le festival ne se contente pas de célébrer le qanoun : il propose une immersion totale dans son univers. Deux grands noms de la musique orientale, Souhad Najm et Omar Ziad (venus tout droit d’Irak), animeront des masterclass pour les jeunes talents marocains. Imagine des enfants et des ados, les yeux brillants, apprenant les secrets de cet instrument ancestral avec des maîtres : ça donne des frissons, non ?
Mais ce n’est pas tout. Une table ronde scientifique, intitulée "Le qanoun au Maroc et au Levant : perspectives croisées", réunira des experts comme Amal Gamal Ayyad d’Égypte et des figures marocaines comme Hassan Bakari et Abdelnasser Makkaoui. L’idée ? Plonger dans l’histoire du qanoun, mais aussi discuter de son avenir dans une époque où les musiques électroniques dominent les playlists.
Et pour finir en beauté, le 9 mai, un concert de clôture mettra en lumière les jeunes prodiges de "Riad Al Qanoun", accompagnés par leur orchestre. Au programme : des morceaux marocains et orientaux, revisités avec fraîcheur et émotion.
Mais ce n’est pas tout. Une table ronde scientifique, intitulée "Le qanoun au Maroc et au Levant : perspectives croisées", réunira des experts comme Amal Gamal Ayyad d’Égypte et des figures marocaines comme Hassan Bakari et Abdelnasser Makkaoui. L’idée ? Plonger dans l’histoire du qanoun, mais aussi discuter de son avenir dans une époque où les musiques électroniques dominent les playlists.
Et pour finir en beauté, le 9 mai, un concert de clôture mettra en lumière les jeunes prodiges de "Riad Al Qanoun", accompagnés par leur orchestre. Au programme : des morceaux marocains et orientaux, revisités avec fraîcheur et émotion.
Pourquoi ce festival est une pépite à ne pas rater ?
Ce qui rend cet événement spécial, c’est son mélange de tradition et d’innovation. Alors que le qanoun est souvent associé à des sonorités classiques, ce festival montre qu’il peut aussi séduire les jeunes générations. Et puis, avouons-le, ça fait plaisir de voir des initiatives qui valorisent notre patrimoine musical tout en le connectant au reste du monde.
Les réactions sur les réseaux sociaux ne se sont pas faites attendre. "Enfin un événement qui met en avant nos instruments traditionnels ! Bravo à l’Académie du Royaume", commente un internaute. Un autre ajoute : "Je ne savais pas que le qanoun pouvait être aussi moderne. Hâte d’entendre les jeunes talents marocains !"
Les réactions sur les réseaux sociaux ne se sont pas faites attendre. "Enfin un événement qui met en avant nos instruments traditionnels ! Bravo à l’Académie du Royaume", commente un internaute. Un autre ajoute : "Je ne savais pas que le qanoun pouvait être aussi moderne. Hâte d’entendre les jeunes talents marocains !"
