Par Mohammed Yassir Mouline
Chronique d’un demi-siècle de pirouettes diplomatiques, de volte-face en cascade et de crashs géopolitiques en série… Il y a des jours où la diplomatie internationale ressemble à un match de foot amateur… ça gesticule, ça crie, ça rate tout… et au coup de sifflet final, c’est toujours le Maroc qui marque… En face, les stratèges du régime algérien « les fameux kabarane » courent après le ballon, trébuchent sur leurs propres slogans et finissent par tirer contre leur camp… Palestine sacrifiée, Polisario abandonné… l’UE et l’ONU giflent Alger en pleine scène diplomatique…
Acte I : Quand Alger veut réécrire l’ONU (et se prend la porte sur le nez)
Tenez, prenons le chef d’orchestre du réalisme marocain, Nasser Bourita, celui qui a posé la règle du jeu… Négociations avec le Polisario ? Seulement si l’Algérie est à la table, sinon « NIET »… Une phrase simple, un principe clair, et soudain, dans les couloirs mal éclairés d’Alger, on entend des bruits de métal qui tombe… c’était les illusions qui se décrochaient…
Puis arrive la résolution 2797, adoptée le 31 octobre 2025… Un texte limpide, propre, solide… Trop solide pour les ingénieurs en papier mâché d’Alger, qui ont tenté un tour de magie… remplacer “les parties” par “les deux parties”… Effacer discrètement, l’Algérie elle-même…
L’ONU a répondu par un “non” sec… Ainsi 24 jours de retard, des coups de fil paniqués, et une publication finale dans les 6 langues officielles, intacte comme un cactus du Sahara… Les parties signifient Maroc, Polisario, Mauritanie … et Algérie… Oui, celle qui répète depuis 50 ans : « Nous ne sommes pas concernés »… La blague du siècle…
Et puisqu’on était déjà dans le burlesque, un diplomate algérien a même tenté un marchandage de souk… Un vote favorable sur Gaza contre un changement dans la traduction arabe… C’était sans compter Omar Hilale, vigilance en inox… Ainsi la version arabe est encore plus claire que la française… Et la fameuse “république de Tindouf” y brille comme un mirage budgétivore engloutissant 500 milliards de dollars en pure fumée… Ni État, ni nation, ni projet, Juste un puits à fantasmes…
Acte II : Bruxelles assène la gifle, Alger perd son latin
Comme si la claque de New York ne suffisait pas, Bruxelles entre en scène… À UNE voix près, le Parlement européen envoie valser les amendements anti-marocains soutenus par le lobby algérien, quelques ONG en déroute et des militants recyclés… Aboutissement, les produits du Sahara reconnus comme marocains… Laâyoune et Dakhla confirmées dans les accords agricoles… Alger groggy, sonné, KO debout… La planète a compris depuis longtemps ce que Bruxelles vient d’écrire noir sur blanc… Ainsi le Sahara est marocain… Point.
Acte I : Quand Alger veut réécrire l’ONU (et se prend la porte sur le nez)
Tenez, prenons le chef d’orchestre du réalisme marocain, Nasser Bourita, celui qui a posé la règle du jeu… Négociations avec le Polisario ? Seulement si l’Algérie est à la table, sinon « NIET »… Une phrase simple, un principe clair, et soudain, dans les couloirs mal éclairés d’Alger, on entend des bruits de métal qui tombe… c’était les illusions qui se décrochaient…
Puis arrive la résolution 2797, adoptée le 31 octobre 2025… Un texte limpide, propre, solide… Trop solide pour les ingénieurs en papier mâché d’Alger, qui ont tenté un tour de magie… remplacer “les parties” par “les deux parties”… Effacer discrètement, l’Algérie elle-même…
L’ONU a répondu par un “non” sec… Ainsi 24 jours de retard, des coups de fil paniqués, et une publication finale dans les 6 langues officielles, intacte comme un cactus du Sahara… Les parties signifient Maroc, Polisario, Mauritanie … et Algérie… Oui, celle qui répète depuis 50 ans : « Nous ne sommes pas concernés »… La blague du siècle…
Et puisqu’on était déjà dans le burlesque, un diplomate algérien a même tenté un marchandage de souk… Un vote favorable sur Gaza contre un changement dans la traduction arabe… C’était sans compter Omar Hilale, vigilance en inox… Ainsi la version arabe est encore plus claire que la française… Et la fameuse “république de Tindouf” y brille comme un mirage budgétivore engloutissant 500 milliards de dollars en pure fumée… Ni État, ni nation, ni projet, Juste un puits à fantasmes…
Acte II : Bruxelles assène la gifle, Alger perd son latin
Comme si la claque de New York ne suffisait pas, Bruxelles entre en scène… À UNE voix près, le Parlement européen envoie valser les amendements anti-marocains soutenus par le lobby algérien, quelques ONG en déroute et des militants recyclés… Aboutissement, les produits du Sahara reconnus comme marocains… Laâyoune et Dakhla confirmées dans les accords agricoles… Alger groggy, sonné, KO debout… La planète a compris depuis longtemps ce que Bruxelles vient d’écrire noir sur blanc… Ainsi le Sahara est marocain… Point.
Acte III : La révolution en soldes… quand Alger brade la Palestine pour un selfie diplomatique
Et c’est là qu’entre la pièce la plus incroyable… le salto arrière palestinien… Au Conseil de sécurité, tandis que les Palestiniens « tous, même le Hamas » demandaient à l’Algérie de voter contre une résolution américaine imposant une tutelle internationale, le représentant algérien a levé la main… le premier… Un “oui” enthousiaste, presque enjoué, comme un élève qui veut répondre avant de comprendre la question…
Les Russes se sont abstenus… Les Chinois se sont abstenus… L’Algérie a voté oui… Rideau, le slogan fétiche “Avec la Palestine, oppressée ou oppressive” ? Perdu entre les petits fours diplomatiques et les trois communiqués contradictoires du jour…
Acte IV : Palestine sacrifiée, Polisario abandonné, cohérence évaporée
Après avoir perdu la carte “Palestine”, Alger s’est précipitée sur sa roue de secours… le Polisario… Et là, nouveau gag… Ahmed Attaf explique au monde que l’Algérie veut “médiatiser” entre Rabat et le Polisario… Médiatiser quoi ? Alger finance, arme, héberge, forme, organise, scénarise et ventriloquise le Polisario depuis 50 ans… mais soudain, elle serait “neutre”… Si le ridicule tuait, le ministère serait déjà fermé pour travaux d’urgence…
Acte V : Quand le monde avance… et qu’Alger pédale dans la semoule
En parallèle, Trump remercie tous les pays arabes pour leur soutien… sauf l’Algérie… L’UE choisit le partenaire fiable le Maroc… Le Conseil de sécurité entérine l’autonomie marocaine comme seule solution crédible… Les pays arabes, africains et européens avancent… sans Alger, qui s’isole à force d’acrobaties diplomatiques… Les kabarane ont voulu jouer les révolutionnaires visionnaires… Ils finissent figurants, oubliés, hors-champ…
Quand la réalité rattrape les illusions
En un mois, entre New York, Bruxelles et Gaza, les illusions du régime algérien ont fondu plus vite que le dinar un jour de crise pétrolière… Pendant que le Maroc consolide son autonomie, structure ses régions, sécurise ses alliances, exporte ses produits et ses succès diplomatiques… L’Algérie, elle négocie des adjectifs dans des résolutions onusiennes, abandonne la Palestine, sacrifie le Polisario, se retrouve ignorée par Washington, boudée par Bruxelles, ridiculisée par le Conseil de sécurité, et prisonnière de ses propres volte-face…
Sahara dans son Maroc, Maroc dans son Sahara… Aime qui aime, déplaise aux autres… Le Royaume avance, droit, stable, serein, et laisse derrière lui les crises de nerfs des kabarane… Wa Salam Aleykoum wa Rahmatou Allah.
Et c’est là qu’entre la pièce la plus incroyable… le salto arrière palestinien… Au Conseil de sécurité, tandis que les Palestiniens « tous, même le Hamas » demandaient à l’Algérie de voter contre une résolution américaine imposant une tutelle internationale, le représentant algérien a levé la main… le premier… Un “oui” enthousiaste, presque enjoué, comme un élève qui veut répondre avant de comprendre la question…
Les Russes se sont abstenus… Les Chinois se sont abstenus… L’Algérie a voté oui… Rideau, le slogan fétiche “Avec la Palestine, oppressée ou oppressive” ? Perdu entre les petits fours diplomatiques et les trois communiqués contradictoires du jour…
Acte IV : Palestine sacrifiée, Polisario abandonné, cohérence évaporée
Après avoir perdu la carte “Palestine”, Alger s’est précipitée sur sa roue de secours… le Polisario… Et là, nouveau gag… Ahmed Attaf explique au monde que l’Algérie veut “médiatiser” entre Rabat et le Polisario… Médiatiser quoi ? Alger finance, arme, héberge, forme, organise, scénarise et ventriloquise le Polisario depuis 50 ans… mais soudain, elle serait “neutre”… Si le ridicule tuait, le ministère serait déjà fermé pour travaux d’urgence…
Acte V : Quand le monde avance… et qu’Alger pédale dans la semoule
En parallèle, Trump remercie tous les pays arabes pour leur soutien… sauf l’Algérie… L’UE choisit le partenaire fiable le Maroc… Le Conseil de sécurité entérine l’autonomie marocaine comme seule solution crédible… Les pays arabes, africains et européens avancent… sans Alger, qui s’isole à force d’acrobaties diplomatiques… Les kabarane ont voulu jouer les révolutionnaires visionnaires… Ils finissent figurants, oubliés, hors-champ…
Quand la réalité rattrape les illusions
En un mois, entre New York, Bruxelles et Gaza, les illusions du régime algérien ont fondu plus vite que le dinar un jour de crise pétrolière… Pendant que le Maroc consolide son autonomie, structure ses régions, sécurise ses alliances, exporte ses produits et ses succès diplomatiques… L’Algérie, elle négocie des adjectifs dans des résolutions onusiennes, abandonne la Palestine, sacrifie le Polisario, se retrouve ignorée par Washington, boudée par Bruxelles, ridiculisée par le Conseil de sécurité, et prisonnière de ses propres volte-face…
Sahara dans son Maroc, Maroc dans son Sahara… Aime qui aime, déplaise aux autres… Le Royaume avance, droit, stable, serein, et laisse derrière lui les crises de nerfs des kabarane… Wa Salam Aleykoum wa Rahmatou Allah.
