Ce sacre historique a été salué unanimement par la presse internationale. L’Équipe parle d’un « sacre historique » et d’une montée en puissance du football marocain sur la scène mondiale, mettant en avant la maîtrise tactique de l’équipe et le doublé de Yassir Zabiri aux 12ᵉ et 29ᵉ minutes, ainsi que le calme impérial du capitaine Othmane Maâma, élu meilleur joueur du tournoi.
En Espagne, Marca et Mundo Deportivo s’enthousiasment pour Maâma, louant sa puissance, sa technique et son courage, et le comparant à des stars comme Cristiano Ronaldo et Lamine Yamal.
Au Portugal, A Bola salue le « bis portugais » de Zabiri, auteur d’un coup franc parfait et d’une volée magistrale.
De l’autre côté de l’Atlantique, The New York Times admire la rigueur et la maturité tactique du Maroc, tandis qu’ESPN résume : « Le Maroc surprend l’Argentine ».
En Amérique du Sud, Emol évoque un « moment d’histoire à Santiago » devant les 43.000 spectateurs enthousiastes. Au Brésil, Globo Esporte salue le « nouveau roi d’Afrique », et en Italie, Corriere dello Sport parle d’une « victoire fondatrice ».
Dans le monde arabe, Arriyadiyah met en lumière le travail du sélectionneur Mohamed Ouahbi, et Al-Ahram célèbre « le magicien Yassir Zabiri », soulignant son efficacité exceptionnelle : cinq buts, quinze tirs cadrés et trois passes décisives.
Partout, les médias voient dans ce triomphe bien plus qu’une simple victoire : c’est la consécration d’un projet, d’une génération et d’un rêve construit dans la discipline et le travail.
Sous les projecteurs de Santiago, les Lionceaux de l’Atlas ont fait vibrer la planète football, et à travers eux, tout le Maroc a brillé sur la scène mondiale.
En Espagne, Marca et Mundo Deportivo s’enthousiasment pour Maâma, louant sa puissance, sa technique et son courage, et le comparant à des stars comme Cristiano Ronaldo et Lamine Yamal.
Au Portugal, A Bola salue le « bis portugais » de Zabiri, auteur d’un coup franc parfait et d’une volée magistrale.
De l’autre côté de l’Atlantique, The New York Times admire la rigueur et la maturité tactique du Maroc, tandis qu’ESPN résume : « Le Maroc surprend l’Argentine ».
En Amérique du Sud, Emol évoque un « moment d’histoire à Santiago » devant les 43.000 spectateurs enthousiastes. Au Brésil, Globo Esporte salue le « nouveau roi d’Afrique », et en Italie, Corriere dello Sport parle d’une « victoire fondatrice ».
Dans le monde arabe, Arriyadiyah met en lumière le travail du sélectionneur Mohamed Ouahbi, et Al-Ahram célèbre « le magicien Yassir Zabiri », soulignant son efficacité exceptionnelle : cinq buts, quinze tirs cadrés et trois passes décisives.
Partout, les médias voient dans ce triomphe bien plus qu’une simple victoire : c’est la consécration d’un projet, d’une génération et d’un rêve construit dans la discipline et le travail.
Sous les projecteurs de Santiago, les Lionceaux de l’Atlas ont fait vibrer la planète football, et à travers eux, tout le Maroc a brillé sur la scène mondiale.