En Espagne, Marca évoque « une génération dorée qui écrit l’histoire du football africain », mettant en avant la rigueur tactique et la maturité des joueurs marocains. En France, L’Équipe parle d’« un Maroc impressionnant de sang-froid et de solidarité », soulignant la résilience de la formation dirigée par Mohamed Ouahbi après l’égalisation française.
En Italie, Tuttosport titre : « Le Maroc fait chavirer le monde », rappelant que le football marocain « confirme son statut de référence sur le continent » après le parcours historique des Aigles du désert à la Coupe du monde 2022.
Les médias africains et arabes célèbrent également ce succès. BBC Africa parle d’un « triomphe symbolique pour tout un continent », tandis qu’Al Jazeera salue « une équipe jeune, disciplinée et ambitieuse, qui prouve que le Maroc continue de repousser les limites du possible ». En Égypte, FilGoal décrit les Lionceaux comme « une équipe à la fois européenne dans son style et africaine dans son âme », formule reprise par des milliers de supporters sur les réseaux sociaux.
De l’autre côté de l’Atlantique, ESPN Afrique souligne la qualité du travail de formation au Maroc : « Les Lionceaux ont joué avec la tête et le cœur », tandis que OneFootball parle d’« une victoire au courage et à la lucidité », ajoutant que « ce Maroc U20 a montré qu’il savait gérer la pression mieux que n’importe quelle autre équipe du tournoi ».
En se hissant en finale du Mondial U20, les jeunes Lions de l’Atlas confirment la montée en puissance du football marocain sur la scène internationale. Après les exploits des équipes A et U17 ces dernières années, cette nouvelle génération promet de porter encore plus haut les couleurs nationales.
Le Maroc n’a désormais plus qu’un pas à franchir pour réaliser un rêve devenu national : soulever le premier trophée mondial de son histoire.