Des révélations accablantes sur le rapport bénéfices-risques !
Lors de l’émission War Room de Steve Bannon, le Dr Steven Hatfill, conseiller principal du HHS, a révélé que RFK Jr. avait supprimé le financement de l’ARNm après que les données avaient montré que la vaccination était plus dangereuse que le Covid-19 lui-même.
Autrement dit, le « remède » était pire que la maladie. Le Dr Hatfill a déclaré : « Il était plus dangereux de se faire vacciner que de contracter le Covid-19 et d’être hospitalisé pour cette maladie. »
Il a expliqué que les méta-analyses montraient systématiquement « aucun rapport bénéfices-risques favorable » pour la prise d’un vaccin à ARN messager.
Le Dr Hatfill a ajouté que ces injections provoquaient un « déluge soudain » d’ARNm dans l’organisme, ce qui submergeait les cellules et créait un « chaos biologique ». Avec une douleur évidente sur le visage, il a conclu : « Il fallait l’arrêter. »
Autrement dit, le « remède » était pire que la maladie. Le Dr Hatfill a déclaré : « Il était plus dangereux de se faire vacciner que de contracter le Covid-19 et d’être hospitalisé pour cette maladie. »
Il a expliqué que les méta-analyses montraient systématiquement « aucun rapport bénéfices-risques favorable » pour la prise d’un vaccin à ARN messager.
Le Dr Hatfill a ajouté que ces injections provoquaient un « déluge soudain » d’ARNm dans l’organisme, ce qui submergeait les cellules et créait un « chaos biologique ». Avec une douleur évidente sur le visage, il a conclu : « Il fallait l’arrêter. »
Que font faire les Big Pharma ?
Face à ce coup d’arrêt brutal, les grandes firmes pharmaceutiques — Pfizer, Moderna, BioNTech — se retrouvent à la croisée des chemins. Leurs modèles économiques, bâtis sur des milliards de doses écoulées et des contrats publics colossaux, vacillent. Une suspension de cette ampleur pourrait déclencher une cascade d’enquêtes, de recours et de repositionnements stratégiques.
Mais ces géants ne resteront pas immobiles. Déjà, certains annoncent un virage vers d’autres biotechnologies : vaccins à ADN, traitements géniques, ou encore nouvelles plateformes antivirales plus “classiques”. D’autres misent sur la communication de crise, arguant de la solidité de leurs essais cliniques et dénonçant un « procès politique ».
Une chose est sûre : la séquence qui s’ouvre pourrait redéfinir la relation entre science, pouvoir et industrie. Les Big Pharma, longtemps perçues comme intouchables, doivent désormais répondre d’une question simple et vertigineuse : que vaut un progrès scientifique si son prix est la confiance du public ?
Mais ces géants ne resteront pas immobiles. Déjà, certains annoncent un virage vers d’autres biotechnologies : vaccins à ADN, traitements géniques, ou encore nouvelles plateformes antivirales plus “classiques”. D’autres misent sur la communication de crise, arguant de la solidité de leurs essais cliniques et dénonçant un « procès politique ».
Une chose est sûre : la séquence qui s’ouvre pourrait redéfinir la relation entre science, pouvoir et industrie. Les Big Pharma, longtemps perçues comme intouchables, doivent désormais répondre d’une question simple et vertigineuse : que vaut un progrès scientifique si son prix est la confiance du public ?