En voici les raisons objectives et factuelles
Le soleil venait à peine de se lever, inondant le gîte rural d'une douce lumière matinale, lorsque mon réveil biologique m'a tiré de mon sommeil. Il était 7 heures, et la journée promettait d'être riche en découvertes et en introspection.
Le petit déjeuner, servi à 7h30, était un mélange équilibré de mets variés et diététiques. Entre deux bouchées, le programme de la journée nous a été dévoilé. Le thème central serait le premier Accord Toltèque : "Que votre parole soit impeccable". Mon cœur battait d'impatience. Ayant déjà exploré ce sujet par le passé, j'avais hâte de partager mes réflexions et d'en apprendre davantage.
Cependant, à la fin du repas, une surprise m'attendait. Un des organisateurs m'a approché, m'invitant à rencontrer le responsable principal du séminaire. L'accueil était courtois, ponctué de multiples "bienvenue parmi nous". Mais derrière cette politesse se cachait une requête inattendue.
Ils avaient découvert, grâce à une recherche Google, que j'exerçais dans le domaine du journalisme. Bien que je ne sois pas journaliste à proprement parler, j'écris régulièrement des articles. Leur préoccupation était claire : ils tenaient à ce que la confidentialité de la retraite soit respectée. Leur charte, semblable à la célèbre maxime "Ce qui se passe à Las Vegas reste à Las Vegas", insiste sur la discrétion et l'anonymat. Leur argument était solide : pour que les participants s'expriment librement, sans crainte d'être exposés, il était essentiel de garantir un espace sécurisé, exempt de toute publication extérieure.
J'ai tenté de les rassurer, expliquant que mon intention n'était pas de divulguer les détails intimes de nos sessions, mais plutôt d'informer sur l'expérience globale. Néanmoins, ils ont insisté pour relire mes écrits avant toute publication, afin de s'assurer qu'aucune information sensible ne soit révélée. Respectant leur démarche, mais tenant à ma liberté d'expression, j'ai décidé de ne pas publier d'articles sur cette retraite, tout en continuant à participer pleinement au séminaire.
La journée s'est poursuivie, riche en enseignements et en partages. Malgré cette petite mésaventure, j'étais déterminé à profiter pleinement de cette expérience unique, tout en respectant les règles établies.
En conclusion, cette première journée m'a rappelé l'importance de la confidentialité dans certains espaces de connaissance personnelle. Même si j'aurais aimé partager mes découvertes avec le monde, je respecte la nécessité de créer un environnement sûr pour tous les participants. Après tout, la sagesse toltèque nous enseigne aussi l'importance de l'intégrité et du respect.
Le petit déjeuner, servi à 7h30, était un mélange équilibré de mets variés et diététiques. Entre deux bouchées, le programme de la journée nous a été dévoilé. Le thème central serait le premier Accord Toltèque : "Que votre parole soit impeccable". Mon cœur battait d'impatience. Ayant déjà exploré ce sujet par le passé, j'avais hâte de partager mes réflexions et d'en apprendre davantage.
Cependant, à la fin du repas, une surprise m'attendait. Un des organisateurs m'a approché, m'invitant à rencontrer le responsable principal du séminaire. L'accueil était courtois, ponctué de multiples "bienvenue parmi nous". Mais derrière cette politesse se cachait une requête inattendue.
Ils avaient découvert, grâce à une recherche Google, que j'exerçais dans le domaine du journalisme. Bien que je ne sois pas journaliste à proprement parler, j'écris régulièrement des articles. Leur préoccupation était claire : ils tenaient à ce que la confidentialité de la retraite soit respectée. Leur charte, semblable à la célèbre maxime "Ce qui se passe à Las Vegas reste à Las Vegas", insiste sur la discrétion et l'anonymat. Leur argument était solide : pour que les participants s'expriment librement, sans crainte d'être exposés, il était essentiel de garantir un espace sécurisé, exempt de toute publication extérieure.
J'ai tenté de les rassurer, expliquant que mon intention n'était pas de divulguer les détails intimes de nos sessions, mais plutôt d'informer sur l'expérience globale. Néanmoins, ils ont insisté pour relire mes écrits avant toute publication, afin de s'assurer qu'aucune information sensible ne soit révélée. Respectant leur démarche, mais tenant à ma liberté d'expression, j'ai décidé de ne pas publier d'articles sur cette retraite, tout en continuant à participer pleinement au séminaire.
La journée s'est poursuivie, riche en enseignements et en partages. Malgré cette petite mésaventure, j'étais déterminé à profiter pleinement de cette expérience unique, tout en respectant les règles établies.
En conclusion, cette première journée m'a rappelé l'importance de la confidentialité dans certains espaces de connaissance personnelle. Même si j'aurais aimé partager mes découvertes avec le monde, je respecte la nécessité de créer un environnement sûr pour tous les participants. Après tout, la sagesse toltèque nous enseigne aussi l'importance de l'intégrité et du respect.