L’arbitre principal sera Jean Jacques Ngambo Ndala, assisté de ses compatriotes Blaise Nabina Sebutu et Guylain Ngila Bongele sur les lignes de touche. Louis Mwamba Masangune, également originaire de la RDC, officiera comme quatrième arbitre. La Confédération africaine de football a également nommé l’Angolais Manuel Cândido Inácio comme assesseur des arbitres, tandis que le Burkinabè Moussa Dahani assurera la fonction de commissaire du match.
Cette confrontation s’annonce cruciale pour les Lions de l’Atlas, leaders de leur groupe avec un parcours sans faute (15 points en cinq matchs). Un seul point leur suffirait pour valider définitivement leur qualification pour le Mondial 2026, qui se tiendra aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Ce serait la troisième participation consécutive du Maroc à la Coupe du monde, et la septième de son histoire.
En face, le Niger sera dirigé par un visage bien connu du public marocain : l’ancien sélectionneur national Badou Zaki, désormais à la tête de l’équipe nigérienne.
Au-delà de l’enjeu sportif, cette rencontre aura une portée symbolique forte puisqu’elle signera la réouverture officielle du Complexe Moulay Abdellah de Rabat, entièrement rénové pour répondre aux standards internationaux. Ce match inaugural s’inscrit dans la perspective des grandes compétitions à venir, notamment la CAN 2025 et la Coupe du monde 2030, coorganisée par le Maroc.
Entre qualification mondiale en ligne de mire et inauguration d’un stade emblématique, le Maroc–Niger s’annonce comme un moment fort et historique pour le football national.