Le Maroc passe à la vitesse supérieure ! Ryad Mezzour, ministre de l’Industrie, vient d’annoncer que le royaume va augmenter de plus de 50% sa production de voitures électriques. Objectif : faire du Maroc un champion de l’automobile verte, capable de rivaliser avec les grands noms du secteur.

C’est lors d’un forum économique que Mezzour a lâché la bombe : “Le Maroc va booster sa production de véhicules électriques pour répondre à la demande mondiale et renforcer sa compétitivité.” Concrètement, ça veut dire plus d’usines, plus d’emplois et plus d’exportations vers l’Europe, l’Afrique et même l’Amérique.

Le pays, déjà connu pour ses usines Renault et PSA, veut maintenant devenir une référence mondiale de la voiture propre. Un vrai tournant pour l’industrie marocaine, qui se met au vert à grande vitesse.

Pourquoi miser sur l’électrique ? Parce que le monde entier cherche à réduire la pollution et à rouler plus propre. Et le Maroc a tout pour plaire : énergie renouvelable, main-d’œuvre qualifiée, position stratégique. Cette montée en gamme va créer des milliers d’emplois pour les jeunes, booster la formation et attirer encore plus d’investisseurs.

L’idée, c’est aussi de surfer sur la vague verte qui touche l’Europe et l’Afrique. Si demain, tu croises une voiture électrique made in Morocco à Paris ou à Dakar, tu sauras pourquoi !

Les experts saluent ce choix audacieux, même si certains rappellent les défis : infrastructures de recharge, prix des voitures, formation des techniciens… Sur les réseaux, les jeunes Marocains sont partagés entre fierté et impatience de voir ces voitures débarquer sur nos routes : “Bientôt, Derb Ghallef vendra des batteries au lieu des pièces d’occasion !”, plaisante un internaute.

Le Maroc est-il prêt à devenir le hub africain de l’auto électrique ? Les paris sont ouverts, mais une chose est sûre : la révolution verte est en marche, et le royaume compte bien garder une longueur d’avance.