Marrakech a toujours su jongler entre tradition et modernité. Mais du 26 septembre au 1er octobre 2025, la ville ocre troque ses lampes à huile contre le projecteur du 7e art en format court. Pour sa 5ᵉ édition, le Marrakech Short Film Festival (MSFF) joue la carte de l’ouverture internationale, accueillant des sélections venues de festivals mythiques comme Locarno, Toronto ou Bilbao. Résultat : un melting-pot d’histoires, d’images et de cultures, le tout condensé en quelques minutes de pellicule.
Un festival qui s’internationalise
Ce n’est pas juste une série de projections, c’est une plateforme d’échanges créatifs. Pour la première fois, le MSFF invite des partenaires de renom : le Locarno Film Festival, le Toronto International Film Festival (TIFF), Zinebi Bilbao, ou encore l’Alexandria Short Film Festival. Sans oublier la présence de La Luna Productions, du Polish Film Institute et de Digital Factory Studios.
En coulisses, l’initiative “International Incubator Program”, portée avec l’Ambassade d’Espagne, confirme la volonté du MSFF de transformer Marrakech en un carrefour cinématographique où se croisent regards et récits du monde entier.
Un jury prestigieux et cosmopolite
Qui dit compétition dit jury. Et pas n’importe lequel. Cette année, les films seront scrutés par des figures internationales comme Assaad Bouab, acteur marocain à la carrière aussi marocaine que parisienne (de “Marock” à “Call My Agent!”), Jane Kim du TIFF, et Rubén Corral, programmateur du Zinebi Bilbao. Un mélange qui promet des débats aussi passionnés que ceux qu’on entend sur la place Jamaa El Fna quand deux gnawa discutent de foot.
Une programmation ambitieuse
Le MSFF, ce n’est pas seulement du popcorn devant l’écran. L’événement propose aussi des tables rondes, discussions et rencontres professionnelles. L’idée ? Faire dialoguer les jeunes cinéastes marocains avec des institutions internationales. Le tout dans un esprit de “Behja”, cette joie marrakchie faite de convivialité, de chaleur humaine et d’un zeste de folie créative.
En somme, la 5ᵉ édition du Marrakech Short Film Festival s’annonce comme une célébration de la créativité mondiale à taille humaine. Entre émergence locale et reconnaissance internationale, le MSFF confirme que le Maroc, et particulièrement Marrakech, n’est pas seulement un décor de cinéma, mais bien un acteur de son futur.
Un festival qui s’internationalise
Ce n’est pas juste une série de projections, c’est une plateforme d’échanges créatifs. Pour la première fois, le MSFF invite des partenaires de renom : le Locarno Film Festival, le Toronto International Film Festival (TIFF), Zinebi Bilbao, ou encore l’Alexandria Short Film Festival. Sans oublier la présence de La Luna Productions, du Polish Film Institute et de Digital Factory Studios.
En coulisses, l’initiative “International Incubator Program”, portée avec l’Ambassade d’Espagne, confirme la volonté du MSFF de transformer Marrakech en un carrefour cinématographique où se croisent regards et récits du monde entier.
Un jury prestigieux et cosmopolite
Qui dit compétition dit jury. Et pas n’importe lequel. Cette année, les films seront scrutés par des figures internationales comme Assaad Bouab, acteur marocain à la carrière aussi marocaine que parisienne (de “Marock” à “Call My Agent!”), Jane Kim du TIFF, et Rubén Corral, programmateur du Zinebi Bilbao. Un mélange qui promet des débats aussi passionnés que ceux qu’on entend sur la place Jamaa El Fna quand deux gnawa discutent de foot.
Une programmation ambitieuse
Le MSFF, ce n’est pas seulement du popcorn devant l’écran. L’événement propose aussi des tables rondes, discussions et rencontres professionnelles. L’idée ? Faire dialoguer les jeunes cinéastes marocains avec des institutions internationales. Le tout dans un esprit de “Behja”, cette joie marrakchie faite de convivialité, de chaleur humaine et d’un zeste de folie créative.
En somme, la 5ᵉ édition du Marrakech Short Film Festival s’annonce comme une célébration de la créativité mondiale à taille humaine. Entre émergence locale et reconnaissance internationale, le MSFF confirme que le Maroc, et particulièrement Marrakech, n’est pas seulement un décor de cinéma, mais bien un acteur de son futur.


