Le musée Dar Niaba de Tanger accueillera du 4 novembre 2025 au 5 février 2026 l’exposition « Un étranger dans votre propre maison », signée par l’artiste espagnol Miguel Ripoll. Consacrée aux artistes voyageurs, cette institution devient ainsi le cadre d’une réflexion sensible autour de l’identité, de la diversité culturelle et de la mémoire partagée.
L’exposition s’inspire de l’héritage d’Ibn Battuta, figure universelle du voyage et du dialogue entre les civilisations. À travers une série de collages numériques post-figuratifs, Ripoll interroge les rapports entre tradition et modernité. Les œuvres sont d’abord créées grâce à des outils d’intelligence artificielle, avant d’être retravaillées manuellement au fusain, au pastel ou à l’encre. Ce processus hybride souligne la rencontre entre l’empreinte humaine et l’univers technologique.
En revisitant les récits historiques et les représentations issues du Romantisme et de l’Orientalisme, l’artiste questionne la construction de l’image de l’« autre ». Il met en regard ces visions souvent empreintes d’exotisme avec les réalités contemporaines liées aux déplacements, aux migrations et aux échanges entre les cultures.
Les œuvres présentées se distinguent par une forte densité visuelle et conceptuelle, traduisant un dialogue entre les époques et les mémoires. Elles donnent à voir un pont symbolique entre le Maroc et l’Espagne, pays liés par une histoire commune faite de rencontres, de tensions mais aussi de transmissions culturelles.
Organisée en partenariat avec la Fondation de la Culture Islamique, la Fondation Nationale des Musées et l’Ambassade d’Espagne au Maroc, cette exposition s’inscrit dans une volonté partagée de nourrir les échanges artistiques entre les deux rives de la Méditerranée.
L’exposition s’inspire de l’héritage d’Ibn Battuta, figure universelle du voyage et du dialogue entre les civilisations. À travers une série de collages numériques post-figuratifs, Ripoll interroge les rapports entre tradition et modernité. Les œuvres sont d’abord créées grâce à des outils d’intelligence artificielle, avant d’être retravaillées manuellement au fusain, au pastel ou à l’encre. Ce processus hybride souligne la rencontre entre l’empreinte humaine et l’univers technologique.
En revisitant les récits historiques et les représentations issues du Romantisme et de l’Orientalisme, l’artiste questionne la construction de l’image de l’« autre ». Il met en regard ces visions souvent empreintes d’exotisme avec les réalités contemporaines liées aux déplacements, aux migrations et aux échanges entre les cultures.
Les œuvres présentées se distinguent par une forte densité visuelle et conceptuelle, traduisant un dialogue entre les époques et les mémoires. Elles donnent à voir un pont symbolique entre le Maroc et l’Espagne, pays liés par une histoire commune faite de rencontres, de tensions mais aussi de transmissions culturelles.
Organisée en partenariat avec la Fondation de la Culture Islamique, la Fondation Nationale des Musées et l’Ambassade d’Espagne au Maroc, cette exposition s’inscrit dans une volonté partagée de nourrir les échanges artistiques entre les deux rives de la Méditerranée.
