Parmi ces transformations :
- Diversification du tissu productif (automobile, aéronautique, énergies renouvelables, offshoring).
- Investissements dans les infrastructures (port de Tanger Med, TGV, autoroutes…).
- Positionnement du Maroc comme hub industriel et logistique en Afrique.
En conclusion : Akesbi est utile pour pointer les injustices et la colère sociale, mais il reste « un miroir de la colère » plutôt qu’un « architecte d’un nouveau modèle ». Le Maroc aujourd’hui a besoin non pas de nostalgie, mais d’un contrat social renouvelé : plus transparent, plus équitable, plus décentralisé; convertir les rentes en leviers de transformation.
PAR LAHCEN HADDAD/LE 360.MA
