Le ministre revient d’abord sur le dernier discours royal, qu’il qualifie d’appel clair à un changement profond des mentalités et à une véritable culture de la responsabilité et de la reddition des comptes. Il ouvre ensuite les coulisses de son département : les chantiers des barrages, la désalinisation de l’eau de mer, mais aussi la crise persistante de l’eau potable dans certaines zones rurales et montagneuses, où la soif continue de frapper malgré les efforts entrepris par le gouvernement.
Nizar Baraka s’attarde également sur la question de la justice territoriale, expliquant que la vraie équité en matière de développement ne se résume pas à ériger des infrastructures, mais à mesurer l’impact concret de ces projets sur la dignité et la vie quotidienne des citoyens.
Abordant le sujet sensible de la corruption dans les marchés publics, il décrit les mesures qu’il met en œuvre pour combattre le clientélisme et la lourdeur administrative, affirmant que toute réforme durable passe d’abord par la transparence et la responsabilité, avant même la concrétisation des projets.
Au fil de cette interview exclusive, le ministre se voit confronté à des questions franches sur le bilan du gouvernement dirigé par Aziz Akhannouch, sur la manière dont l’exécutif réagit aux mouvements sociaux qui se multiplient dans plusieurs régions, et sur sa capacité à entendre les revendications des citoyens les plus modestes.
Baraka évoque aussi la place du Parti de l’Istiqlal dans le paysage politique actuel, les efforts de régénération et de rajeunissement du parti, et la volonté de faire vivre l’héritage intellectuel et patriotique d’Allal El Fassi dans un contexte dominé par les défis du changement climatique, du chômage et de la crise de confiance entre les citoyens et les élites.
Enfin, il partage sa vision d’une revalorisation du capital humain au sein de son ministère et lève le voile sur plusieurs projets d’infrastructures stratégiques — routes, barrages, usines de dessalement — destinés à préparer l’avenir. Pour Nizar Baraka, la réussite du Maroc dépend avant tout d’une mobilisation collective et d’un changement profond des mentalités, avant même le lancement des chantiers.
Nizar Baraka s’attarde également sur la question de la justice territoriale, expliquant que la vraie équité en matière de développement ne se résume pas à ériger des infrastructures, mais à mesurer l’impact concret de ces projets sur la dignité et la vie quotidienne des citoyens.
Abordant le sujet sensible de la corruption dans les marchés publics, il décrit les mesures qu’il met en œuvre pour combattre le clientélisme et la lourdeur administrative, affirmant que toute réforme durable passe d’abord par la transparence et la responsabilité, avant même la concrétisation des projets.
Au fil de cette interview exclusive, le ministre se voit confronté à des questions franches sur le bilan du gouvernement dirigé par Aziz Akhannouch, sur la manière dont l’exécutif réagit aux mouvements sociaux qui se multiplient dans plusieurs régions, et sur sa capacité à entendre les revendications des citoyens les plus modestes.
Baraka évoque aussi la place du Parti de l’Istiqlal dans le paysage politique actuel, les efforts de régénération et de rajeunissement du parti, et la volonté de faire vivre l’héritage intellectuel et patriotique d’Allal El Fassi dans un contexte dominé par les défis du changement climatique, du chômage et de la crise de confiance entre les citoyens et les élites.
Enfin, il partage sa vision d’une revalorisation du capital humain au sein de son ministère et lève le voile sur plusieurs projets d’infrastructures stratégiques — routes, barrages, usines de dessalement — destinés à préparer l’avenir. Pour Nizar Baraka, la réussite du Maroc dépend avant tout d’une mobilisation collective et d’un changement profond des mentalités, avant même le lancement des chantiers.