La polyclinique qui change la donne
Pour rompre avec cette inertie, un projet d’envergure voit le jour : la Polyclinique Ouazzane Dar Dmana, première structure médicale multidisciplinaire de la province.
Édifiée sur une superficie de 6 000 m², elle disposera de plus de 60 lits, de 4 blocs opératoires, de 10 salles de réanimation et de 12 salles d’exploration. Douze pôles d’excellence y seront déployés, couvrant la médecine générale, la chirurgie, la gynécologie-obstétrique, la pédiatrie, l’ophtalmologie, l’ORL, la radiologie, la biologie, la néphrologie, la traumatologie, les urgences et la gastro-entérologie.
Avec un investissement de 120 millions de dirhams et la création de plus de 100 emplois directs et indirects, la polyclinique a ouvert ses portes au public depuis mars 2025.
Édifiée sur une superficie de 6 000 m², elle disposera de plus de 60 lits, de 4 blocs opératoires, de 10 salles de réanimation et de 12 salles d’exploration. Douze pôles d’excellence y seront déployés, couvrant la médecine générale, la chirurgie, la gynécologie-obstétrique, la pédiatrie, l’ophtalmologie, l’ORL, la radiologie, la biologie, la néphrologie, la traumatologie, les urgences et la gastro-entérologie.
Avec un investissement de 120 millions de dirhams et la création de plus de 100 emplois directs et indirects, la polyclinique a ouvert ses portes au public depuis mars 2025.
Un institut pour former les soignants de demain
En parallèle, Ouazzane s’apprête à accueillir sa première structure universitaire privée : l’Institut Supérieur Libéral des Sciences de Santé - Dar Dmana.
Sept filières seront proposées dès l’ouverture en octobre 2025 : infirmiers polyvalents, techniciens en radiologie, techniciens en biologie, infirmiers anesthésistes, kinésithérapeutes, sages-femmes et orthoptistes.
La capacité initiale d’accueil sera de 100 étudiants, extensible à 300, avec des infrastructures modernes comprenant douze salles de cours, quatre laboratoires de travaux pratiques, un amphithéâtre de 130 places, une bibliothèque et une salle de réunion. L’investissement global s’élève à 40 millions de dirhams. Un dispositif de bourses et d’accompagnement sera mis en place pour les étudiants issus de milieux défavorisés.
Sept filières seront proposées dès l’ouverture en octobre 2025 : infirmiers polyvalents, techniciens en radiologie, techniciens en biologie, infirmiers anesthésistes, kinésithérapeutes, sages-femmes et orthoptistes.
La capacité initiale d’accueil sera de 100 étudiants, extensible à 300, avec des infrastructures modernes comprenant douze salles de cours, quatre laboratoires de travaux pratiques, un amphithéâtre de 130 places, une bibliothèque et une salle de réunion. L’investissement global s’élève à 40 millions de dirhams. Un dispositif de bourses et d’accompagnement sera mis en place pour les étudiants issus de milieux défavorisés.
Des programmes sociaux en appui
Ces nouvelles infrastructures s’accompagnent d’une continuité sociale portée par deux programmes phares.
Le premier, Wilkaya - وقاية, actif depuis plus de vingt ans, poursuit ses campagnes de dépistage et de prise en charge des maladies chroniques comme le diabète, l’hypertension artérielle, les affections oculaires (cataracte, glaucome) ou l’insuffisance rénale, avec un accent particulier sur les zones rurales enclavées.
Le second, Forsa - فرصة , offre des bourses aux bacheliers issus de familles modestes, en priorité aux jeunes filles et aux habitants du monde rural, pour leur permettre d’accéder aux formations de l’Institut de Santé.
Le premier, Wilkaya - وقاية, actif depuis plus de vingt ans, poursuit ses campagnes de dépistage et de prise en charge des maladies chroniques comme le diabète, l’hypertension artérielle, les affections oculaires (cataracte, glaucome) ou l’insuffisance rénale, avec un accent particulier sur les zones rurales enclavées.
Le second, Forsa - فرصة , offre des bourses aux bacheliers issus de familles modestes, en priorité aux jeunes filles et aux habitants du monde rural, pour leur permettre d’accéder aux formations de l’Institut de Santé.