Quel impact sur nos tables et notre économie ?
C’est la surprise du chef dans le secteur agricole : le Maroc s’approvisionne de plus en plus en Russie pour son blé. En une année, les importations ont carrément doublé. À l’origine, une conjoncture internationale tendue, avec des prix qui flambent un peu partout. La Russie, elle, propose des tarifs compétitifs et une disponibilité rassurante. Résultat : le Royaume adapte sa stratégie pour garantir le pain quotidien à tous, même en période de crise.
Pour les Marocains, c’est simple : tant que le khobz reste abordable, tout va bien ! Mais derrière, il y a aussi des enjeux économiques et géopolitiques. Miser sur la Russie, c’est diversifier ses sources et éviter les mauvaises surprises sur les marchés mondiaux. C’est aussi un message fort : le Maroc sait jongler entre tradition et adaptation, pour que ni msemen ni batbout ne manquent à l’appel.
Sur Twitter et Facebook, beaucoup saluent la réactivité du gouvernement. Les économistes y voient une preuve de pragmatisme, pendant que certains internautes s’amusent : “Bientôt, on aura du khobz à la russe au café du coin !”. Plus sérieusement, les agriculteurs marocains espèrent que cette stratégie ira de pair avec un soutien renforcé à la production locale.
Le Royaume va-t-il continuer sur cette lancée ? Tout dépendra de l’évolution des prix et des relations internationales. Une chose est sûre : le Maroc veut garder la main sur son assiette. Et vous, seriez-vous prêts à goûter un msemen made in Russia ?
Pour les Marocains, c’est simple : tant que le khobz reste abordable, tout va bien ! Mais derrière, il y a aussi des enjeux économiques et géopolitiques. Miser sur la Russie, c’est diversifier ses sources et éviter les mauvaises surprises sur les marchés mondiaux. C’est aussi un message fort : le Maroc sait jongler entre tradition et adaptation, pour que ni msemen ni batbout ne manquent à l’appel.
Sur Twitter et Facebook, beaucoup saluent la réactivité du gouvernement. Les économistes y voient une preuve de pragmatisme, pendant que certains internautes s’amusent : “Bientôt, on aura du khobz à la russe au café du coin !”. Plus sérieusement, les agriculteurs marocains espèrent que cette stratégie ira de pair avec un soutien renforcé à la production locale.
Le Royaume va-t-il continuer sur cette lancée ? Tout dépendra de l’évolution des prix et des relations internationales. Une chose est sûre : le Maroc veut garder la main sur son assiette. Et vous, seriez-vous prêts à goûter un msemen made in Russia ?



