Livre de Adnane Benchakroun à feuilleter sans modération ou à télécharger ci-dessous
Pourquoi moi, Adnane Benchakroun, senior marocain, j’ai écrit ce livre
Je suis un homme. Je suis senior. Et j’écris un livre sur le burn-out des femmes marocaines. Cela peut surprendre, irriter même. Mais c’est justement pour cela que je l’ai fait.
Parce que trop souvent, dans nos sociétés, les femmes parlent entre elles, les hommes parlent entre eux. Et personne ne s’écoute vraiment. Parce que dans mes cinquante années d’observation, d’engagement et de silence aussi, j’ai vu des sœurs, des filles, des amies, des collègues s’éteindre à petit feu sans que personne ne trouve cela « grave ».
J’ai vu la fatigue devenir un mode de vie. J’ai vu l’héroïsme féminin banalisé, réduit à une qualité naturelle. J’ai vu des femmes s’excuser d’être épuisées, comme si cela trahissait une faiblesse de caractère.
Ce livre, je ne l’ai pas écrit pour « sauver » qui que ce soit. Je l’ai écrit pour écouter. Pour poser des mots sur ce que tant de femmes vivent sans jamais le dire. Pour leur dire qu’elles ne sont pas seules. Et pour dire aux hommes de ma génération – et aux autres – qu’il est temps de regarder en face les murs que nous avons contribué à construire, parfois même en croyant bien faire.
Je n’ai pas la prétention de tout comprendre. Mais j’ai voulu comprendre un peu. J’ai voulu que les silences deviennent des récits. Que les blessures deviennent un savoir. Que la résilience ne soit plus seulement un mot à la mode, mais une réalité incarnée, reconnue, soutenue.
J’ai aussi voulu inviter le doute. D’où les interventions, parfois dures, de cet « avocat du diable » que j’ai glissé à la fin de chaque chapitre. Car si nous voulons avancer, il nous faut aussi accepter de nous remettre en question. De voir ce qui, parfois, dans notre propre récit, devient une nouvelle forme de contrainte.
J’ai écrit ce livre par solidarité. Par devoir de mémoire. Par respect. Et peut-être, aussi, par dette.
À celles qui, chaque jour, portent le monde sur leurs épaules : ce livre est pour vous.
Et pour nous tous.
Parce que trop souvent, dans nos sociétés, les femmes parlent entre elles, les hommes parlent entre eux. Et personne ne s’écoute vraiment. Parce que dans mes cinquante années d’observation, d’engagement et de silence aussi, j’ai vu des sœurs, des filles, des amies, des collègues s’éteindre à petit feu sans que personne ne trouve cela « grave ».
J’ai vu la fatigue devenir un mode de vie. J’ai vu l’héroïsme féminin banalisé, réduit à une qualité naturelle. J’ai vu des femmes s’excuser d’être épuisées, comme si cela trahissait une faiblesse de caractère.
Ce livre, je ne l’ai pas écrit pour « sauver » qui que ce soit. Je l’ai écrit pour écouter. Pour poser des mots sur ce que tant de femmes vivent sans jamais le dire. Pour leur dire qu’elles ne sont pas seules. Et pour dire aux hommes de ma génération – et aux autres – qu’il est temps de regarder en face les murs que nous avons contribué à construire, parfois même en croyant bien faire.
Je n’ai pas la prétention de tout comprendre. Mais j’ai voulu comprendre un peu. J’ai voulu que les silences deviennent des récits. Que les blessures deviennent un savoir. Que la résilience ne soit plus seulement un mot à la mode, mais une réalité incarnée, reconnue, soutenue.
J’ai aussi voulu inviter le doute. D’où les interventions, parfois dures, de cet « avocat du diable » que j’ai glissé à la fin de chaque chapitre. Car si nous voulons avancer, il nous faut aussi accepter de nous remettre en question. De voir ce qui, parfois, dans notre propre récit, devient une nouvelle forme de contrainte.
J’ai écrit ce livre par solidarité. Par devoir de mémoire. Par respect. Et peut-être, aussi, par dette.
À celles qui, chaque jour, portent le monde sur leurs épaules : ce livre est pour vous.
Et pour nous tous.
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Débat - Podcast : les chroniqueurs de la Web Radio débattent des idées contenues dans ce livre à travers ses questions :
1. Quels sont les principaux thèmes abordés dans "Échos du Silence : Femmes Marocaines en Quête de Résilience" ?
2. Qui est l'auteur de cet ouvrage et quelle est la date de publication ?
3. Quel public cible cet ouvrage semble-t-il viser ?
4. Quel est le ton général de l'ouvrage, suggéré par le titre ?
5. L'ouvrage est-il susceptible de contenir des témoignages ou des études de cas ?
6. Quelle est la portée géographique de l'étude menée dans l'ouvrage ?
7. Pourquoi le "silence" est-il un élément important du titre de l'ouvrage ?
8. L'ouvrage semble-t-il avoir une visée descriptive, analytique ou prescriptive ?
2. Qui est l'auteur de cet ouvrage et quelle est la date de publication ?
3. Quel public cible cet ouvrage semble-t-il viser ?
4. Quel est le ton général de l'ouvrage, suggéré par le titre ?
5. L'ouvrage est-il susceptible de contenir des témoignages ou des études de cas ?
6. Quelle est la portée géographique de l'étude menée dans l'ouvrage ?
7. Pourquoi le "silence" est-il un élément important du titre de l'ouvrage ?
8. L'ouvrage semble-t-il avoir une visée descriptive, analytique ou prescriptive ?