Livre de Adnane Benchakroun à feuilleter sans modération ou à télécharger ci-dessous
Moi, Adnane Benchakroun, sénior marocain à la retraite, j’ai choisi de poser ma plume sur ce sujet qui, à première vue, pourrait sembler anecdotique : une casserole, de la mousse, une cuisine de village.
Pourtant, ce qui mijote dans nos marmites dépasse la simple préparation des repas. C’est un monde de mémoire, de transmission, de résistance, et même de survie collective.
Pendant des décennies, j’ai observé la transformation de notre rapport à la nourriture. Dans mon enfance, le pain se pétrissait à la maison, le couscous était un rituel, et chaque casserole portait les cicatrices d’une histoire familiale. Aujourd’hui, les rayons des supermarchés regorgent de plats prêts à consommer, rapides, standardisés, mais souvent pauvres en sens et riches en poisons invisibles. J’ai senti qu’il fallait raconter cette mutation et y opposer un récit.
Ce livre est une fable culinaire et politique. En choisissant la voix de Nour, jeune scientifique marocaine en quête de sens, j’ai voulu incarner le combat discret mais puissant de celles et ceux qui refusent de céder à la facilité de la malbouffe et qui croient encore que nos casseroles abîmées portent en elles une sagesse précieuse.
Je n’ai pas écrit ces pages pour donner des leçons mais pour partager une conviction : la cuisine peut être un acte de résistance, la lenteur une rébellion, et l’eau des pois chiches une métaphore de la mémoire que nous laissons souvent s’évaporer. J’espère que chaque lecteur y trouvera non seulement une histoire, mais aussi une invitation à regarder différemment sa propre cuisine, sa propre mémoire, son propre rapport au temps.
Pendant des décennies, j’ai observé la transformation de notre rapport à la nourriture. Dans mon enfance, le pain se pétrissait à la maison, le couscous était un rituel, et chaque casserole portait les cicatrices d’une histoire familiale. Aujourd’hui, les rayons des supermarchés regorgent de plats prêts à consommer, rapides, standardisés, mais souvent pauvres en sens et riches en poisons invisibles. J’ai senti qu’il fallait raconter cette mutation et y opposer un récit.
Ce livre est une fable culinaire et politique. En choisissant la voix de Nour, jeune scientifique marocaine en quête de sens, j’ai voulu incarner le combat discret mais puissant de celles et ceux qui refusent de céder à la facilité de la malbouffe et qui croient encore que nos casseroles abîmées portent en elles une sagesse précieuse.
Je n’ai pas écrit ces pages pour donner des leçons mais pour partager une conviction : la cuisine peut être un acte de résistance, la lenteur une rébellion, et l’eau des pois chiches une métaphore de la mémoire que nous laissons souvent s’évaporer. J’espère que chaque lecteur y trouvera non seulement une histoire, mais aussi une invitation à regarder différemment sa propre cuisine, sa propre mémoire, son propre rapport au temps.
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Débat - Podcast : les chroniqueurs de la Web Radio débattent des idées contenues dans ce livre à travers ses questions :
Qu'est-ce que l'acrylamide et pourquoi est-il une préoccupation centrale dans ce récit ?
Comment l'aquafaba, un "liquide oublié", devient-il un symbole de résistance et de guérison ?
Quel rôle Amina et Nour jouent-elles dans la "révolte douce" contre l'agro-industrie moderne ?
En quoi le "Club des Silencieux" illustre-t-il une forme alternative de résistance sociale ?
Comment l'idée des "Cafés Net" et des "capsules Siyassa" étend-elle le mouvement au-delà de la cuisine domestique ?
Quelle est la signification du "procès des croûtes" pour le mouvement de Nour ?
Comment le "laboratoire ambulant" et l'histoire de Taha illustrent-ils l'impact concret du mouvement sur les communautés ?
Au-delà de l'alimentation, quels sont les messages plus larges sur la santé et le bien-être véhiculés par le livre ?
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