Sous le thème évocateur « L’art intemporel : entre héritage des époques et création d’aujourd’hui », cette édition a proposé un véritable voyage sensoriel où passé et présent ont dialogué sans retenue. Loin d’un musée figé, Pause’Art a déployé une ambiance vivante et participative : conférence d’ouverture avec des artistes inspirants, expositions audacieuses, performances scéniques, ateliers interactifs… Le campus s’est mué en galerie à ciel ouvert.
Ce n’était plus seulement un rendez-vous d’étudiants. C’était un manifeste. Celui d’une jeunesse qui a refusé les cases : ingénieur ou poète ? Technicien ou danseur ? Pourquoi choisir ? À l’EHTP, l’art et la science ont cohabité, se sont croisés et se sont enrichis mutuellement.
« Pause’Art, c’était notre manière de dire que la technique peut s’émouvoir, que le dessin peut coder des émotions, que chaque geste peut raconter une histoire », a confié un membre du club. Une belle leçon d’humanité, signée par une génération qui n’a pas voulu opposer raison et création.
L’art dans les grandes écoles, un besoin vital ?
De plus en plus d’écoles d’ingénieurs et de commerce au Maroc et ailleurs ont intégré des pratiques artistiques à leur formation. Pourquoi ? Parce que créativité, empathie et expression personnelle ne sont plus considérées comme des extras, mais comme des piliers essentiels de l’innovation. Dessiner, jouer, écrire, danser : autant d’activités qui nourrissent l’intellect tout en cultivant l’intuition. Des études ont démontré que les profils créatifs s’adaptent mieux aux bouleversements du monde professionnel. Pause’Art s’est ainsi inscrit dans cette dynamique bienfaisante : celle de réhumaniser les écoles d’excellence.
Ce n’était plus seulement un rendez-vous d’étudiants. C’était un manifeste. Celui d’une jeunesse qui a refusé les cases : ingénieur ou poète ? Technicien ou danseur ? Pourquoi choisir ? À l’EHTP, l’art et la science ont cohabité, se sont croisés et se sont enrichis mutuellement.
« Pause’Art, c’était notre manière de dire que la technique peut s’émouvoir, que le dessin peut coder des émotions, que chaque geste peut raconter une histoire », a confié un membre du club. Une belle leçon d’humanité, signée par une génération qui n’a pas voulu opposer raison et création.
L’art dans les grandes écoles, un besoin vital ?
De plus en plus d’écoles d’ingénieurs et de commerce au Maroc et ailleurs ont intégré des pratiques artistiques à leur formation. Pourquoi ? Parce que créativité, empathie et expression personnelle ne sont plus considérées comme des extras, mais comme des piliers essentiels de l’innovation. Dessiner, jouer, écrire, danser : autant d’activités qui nourrissent l’intellect tout en cultivant l’intuition. Des études ont démontré que les profils créatifs s’adaptent mieux aux bouleversements du monde professionnel. Pause’Art s’est ainsi inscrit dans cette dynamique bienfaisante : celle de réhumaniser les écoles d’excellence.