Les salles marocaines accueillent à partir de cette semaine "Predator: Badlands", le nouveau chapitre explosif de la saga culte initiée en 1987. Réalisé par Dan Trachtenberg, connu pour son travail sur "Prey" (2022), ce film promet d'être à la fois spectaculaire et introspectif.
D’une durée de 1h47, le film transporte le spectateur dans un futur lointain, sur une planète isolée et inhospitalière. Nous suivons un jeune Predator, banni de son clan et incarné par Dimitrius Schuster-Koloamatangi, qui croise le chemin de Thia, un androïde interprété par Elle Fanning, en quête de liberté. Ensemble, ils s’engagent dans une traversée périlleuse des terres hostiles, traqués par des forces plus redoutables que leurs propres démons.
Une perspective renversée
Pour la première fois dans la saga, le Predator devient le héros, et c’est à travers ses yeux que se joue la tension dramatique. Le film explore ses dilemmes, ses codes d’honneur, et son apprentissage face à l’altérité. La chasse, emblème de la franchise, se transforme en quête initiatique, où survie et humanité se confondent.
Un maître de la tension
Dan Trachtenberg, révélé par "10 Cloverfield Lane" et acclamé pour "Prey", confirme ici son talent pour marier spectacle et émotion. Sa mise en scène nerveuse et immersive met en valeur des effets visuels saisissants, soutenus par une photographie crépusculaire et des séquences d’action d’une rare intensité.
Le cinéaste revisite la mythologie du Yautja, nom de la race Predator en y insufflant une dimension presque spirituelle. Badlands n’est plus seulement une histoire de chasse, mais une réflexion sur l’exil, la loyauté et la coexistence entre deux formes d’intelligence : la machine et la bête.
Un univers élargi
Pour enrichir cette nouvelle ère, Marvel a publié un comic préquel coécrit avec Trachtenberg. L’ouvrage plonge dans les origines du jeune Predator et explore les menaces d’un monde ancien, ouvrant la voie à un univers étendu mêlant cinéma et bande dessinée.
Un événement cinématographique incontournable
Porté par un duo d’acteurs prometteurs et une direction artistique ambitieuse, Predator: Badlands s’impose comme l’un des grands événements cinématographiques de novembre. Entre action, horreur et émotion, ce nouvel opus promet de raviver la flamme d’une saga qui n’a jamais cessé de fasciner.
D’une durée de 1h47, le film transporte le spectateur dans un futur lointain, sur une planète isolée et inhospitalière. Nous suivons un jeune Predator, banni de son clan et incarné par Dimitrius Schuster-Koloamatangi, qui croise le chemin de Thia, un androïde interprété par Elle Fanning, en quête de liberté. Ensemble, ils s’engagent dans une traversée périlleuse des terres hostiles, traqués par des forces plus redoutables que leurs propres démons.
Une perspective renversée
Pour la première fois dans la saga, le Predator devient le héros, et c’est à travers ses yeux que se joue la tension dramatique. Le film explore ses dilemmes, ses codes d’honneur, et son apprentissage face à l’altérité. La chasse, emblème de la franchise, se transforme en quête initiatique, où survie et humanité se confondent.
Un maître de la tension
Dan Trachtenberg, révélé par "10 Cloverfield Lane" et acclamé pour "Prey", confirme ici son talent pour marier spectacle et émotion. Sa mise en scène nerveuse et immersive met en valeur des effets visuels saisissants, soutenus par une photographie crépusculaire et des séquences d’action d’une rare intensité.
Le cinéaste revisite la mythologie du Yautja, nom de la race Predator en y insufflant une dimension presque spirituelle. Badlands n’est plus seulement une histoire de chasse, mais une réflexion sur l’exil, la loyauté et la coexistence entre deux formes d’intelligence : la machine et la bête.
Un univers élargi
Pour enrichir cette nouvelle ère, Marvel a publié un comic préquel coécrit avec Trachtenberg. L’ouvrage plonge dans les origines du jeune Predator et explore les menaces d’un monde ancien, ouvrant la voie à un univers étendu mêlant cinéma et bande dessinée.
Un événement cinématographique incontournable
Porté par un duo d’acteurs prometteurs et une direction artistique ambitieuse, Predator: Badlands s’impose comme l’un des grands événements cinématographiques de novembre. Entre action, horreur et émotion, ce nouvel opus promet de raviver la flamme d’une saga qui n’a jamais cessé de fasciner.


