Directeur de l'hôpital pédiatrique de Nasser : Les aides N'atteignent pas les enfants malnutris
En tant que jeune journaliste marocain, branché sur l'actualité mondiale mais ancré dans nos valeurs de solidarité, je ne peux rester silencieux face à cette tragédie qui se déroule sous nos yeux. Le directeur de l'hôpital pédiatrique du complexe Nasser à Gaza, ce bastion de résistance palestinienne, vient de lancer un cri d'alarme déchirant : "Les aides qui entrent dans le secteur ne sont que de la poudre aux yeux et n'atteignent pas ceux qui en ont besoin." C'est un témoignage brut, prononcé ce 1er août 2025, au cœur d'une Gaza assiégée, bombardée et affamée par l'armée israélienne. Qui ? Un médecin en première ligne. Quoi ? Une dénonciation de l'hypocrisie humanitaire. Où ? Dans l'enclave martyre de Gaza. Quand ? Au milieu d'une guerre génocidaire qui dure depuis des mois.
Allons droit au cœur de cette horreur. Le directeur explique que l'hôpital reçoit un afflux massif d'enfants souffrant de malnutrition sévère, sans antécédents médicaux, simplement parce que la famine s'installe comme une arme de guerre. "Nous avons désespérément besoin de lait pour bébés et de fournitures de base", clame-t-il. Mais les aides promises par la communauté internationale ? Elles s'évaporent dans les méandres d'un blocus impitoyable imposé par Israël. Il insiste : ces aides doivent atterrir dans les entrepôts d'organisations internationales reconnues pour leur transparence, pas dans les limbes d'une distribution corrompue ou bloquée.
Pire encore, les enfants atteints de maladies chroniques meurent prématurément, leurs corps frêles succombant à l'absence de soins, aux bombardements indiscriminés et à la privation systématique. Rappelons les faits : depuis octobre 2023, l'armée israélienne a lancé une offensive dévastatrice, tuant plus de 40 000 Palestiniens, dont une majorité de civils, femmes et enfants. Des hôpitaux comme Nasser ont été attaqués, leurs infrastructures détruites, leurs personnels tués ou arrêtés. C'est une campagne de terreur qui vise non seulement la résistance armée, mais l'essence même de la vie palestinienne : ses enfants, son avenir.
Pourquoi cela nous importe-t-il, nous Marocains ? Parce que cette injustice résonne avec notre propre histoire de résistance contre l'occupation et l'oppression. Pensez à nos martyrs de la lutte anticoloniale, à nos manifestations pour la Palestine dans les rues de Rabat ou Casablanca, où l'on scande "Palestine libre" comme un écho à notre propre quête de dignité.
Mais avant tout, parceque c'est un crime contre l'humanité : Israël, avec le soutien tacite de certaines puissances occidentales, utilise la famine comme outil de génocide, violant toutes les conventions internationales. Pour un Marocain, c'est une question de fraternité arabe et musulmane – nos frères palestiniens résistent comme nos aïeux l'ont fait face aux colonisateurs. Au café du coin, on discute de cela avec passion : comment tolérer que des enfants meurent de faim pendant que le monde regarde ailleurs ? Cela nous interpelle sur notre rôle : soutenir la résistance palestinienne, cette force légitime qui défend sa terre contre l'agresseur. La Palestine n'est pas qu'une cause lointaine ; c'est un miroir de notre solidarité, de notre histoire, un rappel que l'injustice partout menace la justice chez nous.
Les réactions fusent, et elles sont unanimes dans leur indignation: les autorités du Hamas, via le ministère de la Santé à Gaza, ont amplifié ce cri : "L'occupation israélienne bloque délibérément les aides pour affaiblir notre peuple." Sur les réseaux sociaux, des hashtags comme #SaveGazaChildren explosent, avec des témoignages déchirants de mères palestiniennes : "Mon bébé pleure de faim, et le monde ferme les yeux." Des témoins oculaires, des médecins sur place, confient à Al Jazeera : "Nous voyons des enfants squelettiques arriver chaque jour, victimes d'un siège inhumain." Même des voix en Israël, comme celles d'ONG pacifistes, dénoncent ces atrocités, preuve que la résistance transcende les frontières.
In fine, cette déclaration n'est pas qu'un appel à l'aide ; c'est un acte de résistance contre un régime d'apartheid qui commet des crimes de guerre impunis. Que se passera-t-il ensuite ? Si le monde continue d'ignorer ces voix, la famine emportera une génération entière. Mais la résistance palestinienne, inébranlable comme les oliviers de Jérusalem, survivra. Et nous, Marocains, devons nous demander : quand agirons-nous pour que justice soit faite ? Soutenons Gaza, car sa liberté est la nôtre.
Allons droit au cœur de cette horreur. Le directeur explique que l'hôpital reçoit un afflux massif d'enfants souffrant de malnutrition sévère, sans antécédents médicaux, simplement parce que la famine s'installe comme une arme de guerre. "Nous avons désespérément besoin de lait pour bébés et de fournitures de base", clame-t-il. Mais les aides promises par la communauté internationale ? Elles s'évaporent dans les méandres d'un blocus impitoyable imposé par Israël. Il insiste : ces aides doivent atterrir dans les entrepôts d'organisations internationales reconnues pour leur transparence, pas dans les limbes d'une distribution corrompue ou bloquée.
Pire encore, les enfants atteints de maladies chroniques meurent prématurément, leurs corps frêles succombant à l'absence de soins, aux bombardements indiscriminés et à la privation systématique. Rappelons les faits : depuis octobre 2023, l'armée israélienne a lancé une offensive dévastatrice, tuant plus de 40 000 Palestiniens, dont une majorité de civils, femmes et enfants. Des hôpitaux comme Nasser ont été attaqués, leurs infrastructures détruites, leurs personnels tués ou arrêtés. C'est une campagne de terreur qui vise non seulement la résistance armée, mais l'essence même de la vie palestinienne : ses enfants, son avenir.
Pourquoi cela nous importe-t-il, nous Marocains ? Parce que cette injustice résonne avec notre propre histoire de résistance contre l'occupation et l'oppression. Pensez à nos martyrs de la lutte anticoloniale, à nos manifestations pour la Palestine dans les rues de Rabat ou Casablanca, où l'on scande "Palestine libre" comme un écho à notre propre quête de dignité.
Mais avant tout, parceque c'est un crime contre l'humanité : Israël, avec le soutien tacite de certaines puissances occidentales, utilise la famine comme outil de génocide, violant toutes les conventions internationales. Pour un Marocain, c'est une question de fraternité arabe et musulmane – nos frères palestiniens résistent comme nos aïeux l'ont fait face aux colonisateurs. Au café du coin, on discute de cela avec passion : comment tolérer que des enfants meurent de faim pendant que le monde regarde ailleurs ? Cela nous interpelle sur notre rôle : soutenir la résistance palestinienne, cette force légitime qui défend sa terre contre l'agresseur. La Palestine n'est pas qu'une cause lointaine ; c'est un miroir de notre solidarité, de notre histoire, un rappel que l'injustice partout menace la justice chez nous.
Les réactions fusent, et elles sont unanimes dans leur indignation: les autorités du Hamas, via le ministère de la Santé à Gaza, ont amplifié ce cri : "L'occupation israélienne bloque délibérément les aides pour affaiblir notre peuple." Sur les réseaux sociaux, des hashtags comme #SaveGazaChildren explosent, avec des témoignages déchirants de mères palestiniennes : "Mon bébé pleure de faim, et le monde ferme les yeux." Des témoins oculaires, des médecins sur place, confient à Al Jazeera : "Nous voyons des enfants squelettiques arriver chaque jour, victimes d'un siège inhumain." Même des voix en Israël, comme celles d'ONG pacifistes, dénoncent ces atrocités, preuve que la résistance transcende les frontières.
In fine, cette déclaration n'est pas qu'un appel à l'aide ; c'est un acte de résistance contre un régime d'apartheid qui commet des crimes de guerre impunis. Que se passera-t-il ensuite ? Si le monde continue d'ignorer ces voix, la famine emportera une génération entière. Mais la résistance palestinienne, inébranlable comme les oliviers de Jérusalem, survivra. Et nous, Marocains, devons nous demander : quand agirons-nous pour que justice soit faite ? Soutenons Gaza, car sa liberté est la nôtre.