La diplomatie judiciaire, un levier discret mais stratégique
Ce vendredi 13 juin 2025, le siège de l’Association des Barreaux du Maroc (ABAM), à Rabat, a accueilli une délégation russe de haut niveau, composée d’avocats, de notaires, de professeurs de droit et de conseillers juridiques gouvernementaux venus de Moscou et de plusieurs régions de la Fédération de Russie. Cette rencontre officielle s’est déroulée en présence du bâtonnier marocain Houcine Ziani, de Maître Omar Mahmoud Bendjelloun, membre du bureau national de l’ABAM, et de M. Zouhair Saïd, président de l’Alliance Maroc-Russie.
Bien plus qu’une simple visite de courtoisie, cette réunion marque une nouvelle étape dans les relations de coopération entre les professions juridiques des deux pays. Les discussions ont porté sur des enjeux majeurs : l’échange d’expertises, la formation des juristes, les défis posés par la mondialisation et les mutations liées à l’intelligence artificielle, sans oublier l’attachement commun aux valeurs de justice, au respect du droit international et à la défense de l’unité territoriale des États.
L’aboutissement de cette rencontre a pris la forme d’une signature de mémorandum d’entente : un cadre structurant qui jette les bases d’un partenariat professionnel ambitieux entre institutions marocaines et russes. Une collaboration que les deux parties souhaitent durable, active, et résolument tournée vers l’avenir.
La diplomatie judiciaire, un levier discret mais stratégique
On parle souvent de diplomatie économique ou culturelle, mais la diplomatie judiciaire est en plein essor. À travers ce type de coopération entre ordres d’avocats, barreaux ou écoles juridiques, les États consolident leurs liens par le biais d’échanges techniques, de stages croisés, voire d’alliances dans les grandes enceintes internationales. Le cas Maroc-Russie illustre cette tendance, où le droit devient à la fois un langage commun et un instrument de souveraineté.
Bien plus qu’une simple visite de courtoisie, cette réunion marque une nouvelle étape dans les relations de coopération entre les professions juridiques des deux pays. Les discussions ont porté sur des enjeux majeurs : l’échange d’expertises, la formation des juristes, les défis posés par la mondialisation et les mutations liées à l’intelligence artificielle, sans oublier l’attachement commun aux valeurs de justice, au respect du droit international et à la défense de l’unité territoriale des États.
L’aboutissement de cette rencontre a pris la forme d’une signature de mémorandum d’entente : un cadre structurant qui jette les bases d’un partenariat professionnel ambitieux entre institutions marocaines et russes. Une collaboration que les deux parties souhaitent durable, active, et résolument tournée vers l’avenir.
La diplomatie judiciaire, un levier discret mais stratégique
On parle souvent de diplomatie économique ou culturelle, mais la diplomatie judiciaire est en plein essor. À travers ce type de coopération entre ordres d’avocats, barreaux ou écoles juridiques, les États consolident leurs liens par le biais d’échanges techniques, de stages croisés, voire d’alliances dans les grandes enceintes internationales. Le cas Maroc-Russie illustre cette tendance, où le droit devient à la fois un langage commun et un instrument de souveraineté.