À Rabat, les autorités locales redoublent d’efforts pour embellir la ville en lançant une vaste opération visant à retirer les climatiseurs et les paraboles des façades des immeubles. Cette initiative ambitieuse a pour objectif d’uniformiser l’apparence des bâtiments, en mettant l’accent sur une esthétique urbaine harmonieuse.
Des actions concrètes ont déjà commencé dans des quartiers clés tels que Hay Riad, où les résidents ont reçu une notification officielle datée du 22 janvier. Celle-ci leur impose de démonter ces équipements et de repeindre leurs façades en blanc dans un délai de 15 jours. Cette mesure s’appuie sur les dispositions du décret n°2-17-354, en vigueur depuis 2018, qui interdit l’installation de ces dispositifs sur les façades et balcons, conformément au plan d’aménagement de la capitale.
Cette campagne suscite des avis partagés parmi les habitants. Certains saluent cette initiative, estimant qu’elle contribue à revaloriser le patrimoine architectural et à renforcer l’attractivité de la ville. D’autres, en revanche, déplorent l’absence d’un accompagnement technique ou financier pour faciliter le déplacement des équipements vers des murs latéraux ou des toits, qu’ils jugent plus adapté.
Les réseaux sociaux regorgent d’images illustrant l’ampleur de cette transformation urbaine. Alors que Rabat poursuit son ambition de devenir une « ville lumière » et un modèle de modernité, cette opération reflète la volonté des autorités d’allier esthétique et réglementation dans une démarche tournée vers l’intérêt collectif.
Des actions concrètes ont déjà commencé dans des quartiers clés tels que Hay Riad, où les résidents ont reçu une notification officielle datée du 22 janvier. Celle-ci leur impose de démonter ces équipements et de repeindre leurs façades en blanc dans un délai de 15 jours. Cette mesure s’appuie sur les dispositions du décret n°2-17-354, en vigueur depuis 2018, qui interdit l’installation de ces dispositifs sur les façades et balcons, conformément au plan d’aménagement de la capitale.
Cette campagne suscite des avis partagés parmi les habitants. Certains saluent cette initiative, estimant qu’elle contribue à revaloriser le patrimoine architectural et à renforcer l’attractivité de la ville. D’autres, en revanche, déplorent l’absence d’un accompagnement technique ou financier pour faciliter le déplacement des équipements vers des murs latéraux ou des toits, qu’ils jugent plus adapté.
Les réseaux sociaux regorgent d’images illustrant l’ampleur de cette transformation urbaine. Alors que Rabat poursuit son ambition de devenir une « ville lumière » et un modèle de modernité, cette opération reflète la volonté des autorités d’allier esthétique et réglementation dans une démarche tournée vers l’intérêt collectif.