Le profil des présents était varié : étudiants, bénévoles associatifs, familles, vétérinaires, simples riverains. Le cœur de la contestation : La logique jugée punitive du texte en discussion. Les opérations de mise à mort ou d’empoisonnement attribuées à certaines autorités locales. Le projet de loi n°19.25 vise à encadrer la protection des animaux errants et à prévenir les dangers sanitaires (morsures, rage) et de nuisance. Mais des articles introduisant des sanctions financières contre les citoyens hébergeant ou nourrissant des animaux non enregistrés provoquent un rejet marqué. Des manifestants affirment que des montants “de plusieurs milliers de dirhams” circulent officieusement, sans version consolidée publiée à ce stade. Une militante résume : “On ne doit pas dissuader l’aide de base aux animaux.”