Cette initiative, portée par le Centre d’Études et de Recherches du Patrimoine Archéologique et Anthropologique du Moyen Atlas (CERPAAM), se déroulera sous le thème ambitieux : « Afrique du Nord : une réécriture de l’Histoire humaine ». Ce festival s’inscrit dans une volonté de valoriser le patrimoine culturel et archéologique du Maroc tout en renforçant les échanges culturels internationaux.
Un événement soutenu par de grandes institutions
Organisé avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, ainsi que de la Wilaya de la région de Rabat-Salé-Kénitra, ce festival bénéficie également d’une collaboration prestigieuse avec le Festival du Film d’Archéologie d’Amiens, en France. Créé en 1990, ce dernier est une référence mondiale dans le domaine des festivals cinématographiques dédiés à l’archéologie. Cet appui témoigne de l’importance des politiques de coopération culturelle entre la France et le Maroc.
Le festival de Rabat rejoint ainsi un réseau international de rendez-vous similaires, parmi lesquels figurent des événements majeurs en France (Narbonne, Pech Merle), en Italie (Rovereto, Florence, Licodia Eubea), en Grèce (Athènes), ou encore aux États-Unis (Arkhaios). Cette inclusion positionne le Maroc comme un acteur clé dans la diffusion et la préservation du patrimoine archéologique à l’échelle mondiale.
Une programmation riche et immersive
Pour cette première édition, le festival propose une programmation variée et captivante. Pas moins de trente films documentaires seront projetés, dont dix-huit en compétition officielle. Ces œuvres offriront au public un véritable voyage visuel et sonore à travers les âges, explorant les origines de l’humanité et les trésors archéologiques du monde entier. Le festival sera inauguré par un documentaire phare consacré à la découverte des plus anciens Homo sapiens, datés de plus de 315 000 ans, sur le site de Jbel Irhoud au Maroc. Cette découverte, largement médiatisée, a bouleversé les connaissances sur les origines de l’Homme moderne.
Outre les projections, le festival sera également un lieu d’échange et de débats. La participation de réalisateurs, d’historiens et d’archéologues permettra au public d’approfondir sa compréhension des sujets liés à l’archéologie et au patrimoine. Ces rencontres offriront une opportunité unique de dialoguer avec des experts et de démystifier des pans méconnus de notre histoire collective.
Le Maroc au cœur de l’archéologie mondiale
Le festival mettra également en lumière le dynamisme de l’archéologie marocaine. Ces dernières années, plusieurs découvertes majeures ont renforcé la position du Maroc comme un acteur incontournable dans ce domaine. Parmi elles, l’identification d’un site préhistorique de production de céréales à la fin du Néolithique (Oued Beht) et la découverte du premier village protohistorique connu du Maghreb à Kach Kouch, dans la province de Tétouan. Cette dernière découverte remet en question les idées reçues sur le développement des sociétés nord-africaines avant l’arrivée des Phéniciens.
En offrant une plateforme internationale à ces avancées scientifiques, le festival contribue à réécrire l’histoire humaine et à repositionner l’Afrique du Nord comme un berceau essentiel de l’humanité.
Un événement soutenu par de grandes institutions
Organisé avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, ainsi que de la Wilaya de la région de Rabat-Salé-Kénitra, ce festival bénéficie également d’une collaboration prestigieuse avec le Festival du Film d’Archéologie d’Amiens, en France. Créé en 1990, ce dernier est une référence mondiale dans le domaine des festivals cinématographiques dédiés à l’archéologie. Cet appui témoigne de l’importance des politiques de coopération culturelle entre la France et le Maroc.
Le festival de Rabat rejoint ainsi un réseau international de rendez-vous similaires, parmi lesquels figurent des événements majeurs en France (Narbonne, Pech Merle), en Italie (Rovereto, Florence, Licodia Eubea), en Grèce (Athènes), ou encore aux États-Unis (Arkhaios). Cette inclusion positionne le Maroc comme un acteur clé dans la diffusion et la préservation du patrimoine archéologique à l’échelle mondiale.
Une programmation riche et immersive
Pour cette première édition, le festival propose une programmation variée et captivante. Pas moins de trente films documentaires seront projetés, dont dix-huit en compétition officielle. Ces œuvres offriront au public un véritable voyage visuel et sonore à travers les âges, explorant les origines de l’humanité et les trésors archéologiques du monde entier. Le festival sera inauguré par un documentaire phare consacré à la découverte des plus anciens Homo sapiens, datés de plus de 315 000 ans, sur le site de Jbel Irhoud au Maroc. Cette découverte, largement médiatisée, a bouleversé les connaissances sur les origines de l’Homme moderne.
Outre les projections, le festival sera également un lieu d’échange et de débats. La participation de réalisateurs, d’historiens et d’archéologues permettra au public d’approfondir sa compréhension des sujets liés à l’archéologie et au patrimoine. Ces rencontres offriront une opportunité unique de dialoguer avec des experts et de démystifier des pans méconnus de notre histoire collective.
Le Maroc au cœur de l’archéologie mondiale
Le festival mettra également en lumière le dynamisme de l’archéologie marocaine. Ces dernières années, plusieurs découvertes majeures ont renforcé la position du Maroc comme un acteur incontournable dans ce domaine. Parmi elles, l’identification d’un site préhistorique de production de céréales à la fin du Néolithique (Oued Beht) et la découverte du premier village protohistorique connu du Maghreb à Kach Kouch, dans la province de Tétouan. Cette dernière découverte remet en question les idées reçues sur le développement des sociétés nord-africaines avant l’arrivée des Phéniciens.
En offrant une plateforme internationale à ces avancées scientifiques, le festival contribue à réécrire l’histoire humaine et à repositionner l’Afrique du Nord comme un berceau essentiel de l’humanité.


