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Raclette : faut-il garder la peau des pommes de terre ?


Quand vient le moment de la raclette, chacun a ses habitudes : certains épluchent les pommes de terre avant cuisson, d’autres ôtent la peau dans leur assiette, tandis que certains la dégustent telle quelle. Mais au-delà du goût et de la texture, la peau des pommes de terre apporte-t-elle vraiment quelque chose ? Et vaut-il la peine de la conserver ?



Choisir la bonne pomme de terre

Raclette : faut-il garder la peau des pommes de terre ?

Pour une raclette réussie, il est conseillé de privilégier des variétés à chair ferme telles que Charlotte, Amandine ou Ratte. Ces pommes de terre tiennent bien à la cuisson et gardent une texture agréable. En revanche, les variétés farineuses comme la Bintje risquent de se défaire à la cuisson et sont donc moins adaptées.

 


Les bienfaits de la peau

La peau des pommes de terre n’est pas qu’un simple ornement : elle est riche en fibres et en minéraux, ce qui aide à la digestion et peut freiner l’absorption des graisses. Ainsi, la consommer avec la peau permet de tirer un meilleur parti nutritionnel de votre repas, surtout lorsqu’il s’accompagne de fromage fondu et de charcuterie.

 


Cuisson et conservation des nutriments

La cuisson à la vapeur est idéale pour conserver un maximum de minéraux et de nutriments, tandis que la cuisson au four peut légèrement augmenter l’index glycémique des pommes de terre. Néanmoins, cette méthode reste acceptable ponctuellement, notamment lors des repas festifs.

 


Astuce pratique

Si vous préférez éplucher les pommes de terre, il est préférable de le faire après cuisson, plutôt qu’avant. Cela permet de préserver davantage les nutriments et de profiter au mieux de la texture et de la saveur de la pomme de terre.


En résumé, la peau des pommes de terre est un véritable allié santé pour une raclette gourmande et équilibrée. Alors, pourquoi s’en priver ?


Mercredi 24 Décembre 2025



Rédigé par le Mercredi 24 Décembre 2025
Salma Labtar
Journaliste sportive et militante féministe, lauréate de l'ISIC. Dompteuse de mots, je jongle avec... En savoir plus sur cet auteur