Un départ inattendu et des défis sous-jacents :
Sous la direction de De Meo, Renault a connu des succès notables, notamment en remportant deux fois le prestigieux prix "Car of the Year". Cependant, ces accomplissements n'ont pas suffi à compenser les défis auxquels l’entreprise fait face, notamment en matière de ventes de véhicules électriques qui peinent à décoller. De plus, la pression exercée par le gouvernement français, actionnaire majoritaire de Renault, pour développer des drones de guerre en Ukraine, aurait exacerbé le sentiment d'exaspération de De Meo. Cette demande inattendue a pu être la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, selon des sources proches du dossier.
En rejoignant Kering, le groupe de luxe français, Luca de Meo s'engage dans un nouveau chapitre de sa carrière, loin du monde de l'automobile. Ce changement de cap pourrait être perçu comme une fuite vers un secteur moins tumultueux, mais il reste à voir comment il s'adaptera à ce nouvel environnement. Pendant ce temps, Renault doit maintenant se préparer à la succession de De Meo, un défi qui ne sera pas sans enjeux pour l'avenir du constructeur.
En rejoignant Kering, le groupe de luxe français, Luca de Meo s'engage dans un nouveau chapitre de sa carrière, loin du monde de l'automobile. Ce changement de cap pourrait être perçu comme une fuite vers un secteur moins tumultueux, mais il reste à voir comment il s'adaptera à ce nouvel environnement. Pendant ce temps, Renault doit maintenant se préparer à la succession de De Meo, un défi qui ne sera pas sans enjeux pour l'avenir du constructeur.


