Le jeudi 31 juillet 2025, à Paris, une rencontre de haut niveau entre Mme Samira Sitaïl, Ambassadrice du Maroc en France, et l’Ambassadeur américain Charles Kushner, accompagné de son épouse Seryl Kushner, a illustré la dynamique positive d’une alliance maroco-américaine tournée vers l’avenir.
À travers cet échange symbolique dans la capitale française, le Maroc confirme sa position de puissance régionale responsable et de partenaire fiable des grandes nations démocratiques. Plutôt que de s’enfermer dans des discours vides ou des postures victimaires, le Royaume opte pour des actions concrètes, un dialogue stratégique et le respect mutuel, des principes que le régime militaire algérien néglige au profit d’une idéologie stérile et d’une approche diplomatique rétrograde.
Alors que la diplomatie marocaine établit des liens à l’échelle mondiale et œuvre pour la paix et la stabilité, l’Algérie persiste dans une politique de sabotage qui lui vaut un isolement croissant lors des sommets internationaux. Sa fixation obsessive sur les intérêts marocains se traduit par des échecs répétés sur la scène diplomatique, révélant un régime davantage préoccupé par la division que par l’amélioration de la condition de son peuple.
Cette rencontre à Paris a mis en avant la richesse de l’identité marocaine, son modèle de coexistence culturelle et religieuse, ainsi que son rôle actif dans la promotion de la paix mondiale. Ce sont ces mêmes valeurs que le régime algérien tente vainement de discréditer, en s’enlisant dans une rhétorique froide et agressive qui ne parvient plus à convaincre ni en Afrique, ni en Europe, ni aux États-Unis.
Face à un Maroc résolument tourné vers l’avenir et engagé sur la scène internationale, l’Algérie apparaît comme une nation enfermée dans ses rancunes, dominée par son appareil militaire et incapable de proposer une véritable alternative pour la paix et le développement régional.
En ce 31 juillet à Paris, il ne s’agissait pas seulement d’un dialogue diplomatique entre deux partenaires. Ce moment a incarné une vision d’un monde en mouvement et en collaboration, tandis que certains régimes, à l’instar de celui d’Alger, restent enfermés dans la défiance, l’amertume et une politique dépassée.
À travers cet échange symbolique dans la capitale française, le Maroc confirme sa position de puissance régionale responsable et de partenaire fiable des grandes nations démocratiques. Plutôt que de s’enfermer dans des discours vides ou des postures victimaires, le Royaume opte pour des actions concrètes, un dialogue stratégique et le respect mutuel, des principes que le régime militaire algérien néglige au profit d’une idéologie stérile et d’une approche diplomatique rétrograde.
Alors que la diplomatie marocaine établit des liens à l’échelle mondiale et œuvre pour la paix et la stabilité, l’Algérie persiste dans une politique de sabotage qui lui vaut un isolement croissant lors des sommets internationaux. Sa fixation obsessive sur les intérêts marocains se traduit par des échecs répétés sur la scène diplomatique, révélant un régime davantage préoccupé par la division que par l’amélioration de la condition de son peuple.
Cette rencontre à Paris a mis en avant la richesse de l’identité marocaine, son modèle de coexistence culturelle et religieuse, ainsi que son rôle actif dans la promotion de la paix mondiale. Ce sont ces mêmes valeurs que le régime algérien tente vainement de discréditer, en s’enlisant dans une rhétorique froide et agressive qui ne parvient plus à convaincre ni en Afrique, ni en Europe, ni aux États-Unis.
Face à un Maroc résolument tourné vers l’avenir et engagé sur la scène internationale, l’Algérie apparaît comme une nation enfermée dans ses rancunes, dominée par son appareil militaire et incapable de proposer une véritable alternative pour la paix et le développement régional.
En ce 31 juillet à Paris, il ne s’agissait pas seulement d’un dialogue diplomatique entre deux partenaires. Ce moment a incarné une vision d’un monde en mouvement et en collaboration, tandis que certains régimes, à l’instar de celui d’Alger, restent enfermés dans la défiance, l’amertume et une politique dépassée.