Du 6 septembre 2025 au 11 janvier 2026, São Paulo va se transformer en capitale mondiale de l’art contemporain avec sa 36ᵉ Biennale. Et cette année, un invité inattendu s’invite dans l’aventure : Royal Air Maroc (RAM), transporteur officiel de l’événement. Oui, l’oiseau bleu qui relie Casablanca à São Paulo ne se contente plus de transporter des voyageurs : il embarque aussi des toiles, des sculptures, et surtout une vision du monde.
Quand l’avion devient galerie volante
Le rôle de la RAM ne se limite pas à coller son logo sur une affiche : la compagnie transporte les artistes et les œuvres elles-mêmes. On parle ici de chefs-d’œuvre qui traversent des continents, de cargaisons fragiles, mais surtout de ponts culturels entre l’Afrique, l’Amérique latine et l’Asie. Avec son hub de Casablanca et ses 90 destinations, la RAM devient un vrai hub créatif Sud-Sud.
Le thème de cette édition, « Tous les voyageurs ne parcourent pas les routes – De l’humanité comme pratique », résonne presque comme un clin d’œil à la mission de la RAM. On imagine déjà un caftan marocain croisant un masque yoruba ou une installation brésilienne, tous réunis à São Paulo grâce à un vol transatlantique.
Soft power à la marocaine
Ce partenariat n’est pas un coup de pub isolé. Depuis des années, la RAM joue les sponsors culturels : festivals de cinéma, musique, expositions… un vrai soft power aérien qui positionne le Maroc comme un acteur incontournable du dialogue culturel.
Quand l’avion devient galerie volante
Le rôle de la RAM ne se limite pas à coller son logo sur une affiche : la compagnie transporte les artistes et les œuvres elles-mêmes. On parle ici de chefs-d’œuvre qui traversent des continents, de cargaisons fragiles, mais surtout de ponts culturels entre l’Afrique, l’Amérique latine et l’Asie. Avec son hub de Casablanca et ses 90 destinations, la RAM devient un vrai hub créatif Sud-Sud.
Le thème de cette édition, « Tous les voyageurs ne parcourent pas les routes – De l’humanité comme pratique », résonne presque comme un clin d’œil à la mission de la RAM. On imagine déjà un caftan marocain croisant un masque yoruba ou une installation brésilienne, tous réunis à São Paulo grâce à un vol transatlantique.
Soft power à la marocaine
Ce partenariat n’est pas un coup de pub isolé. Depuis des années, la RAM joue les sponsors culturels : festivals de cinéma, musique, expositions… un vrai soft power aérien qui positionne le Maroc comme un acteur incontournable du dialogue culturel.
Othman Baba, directeur régional de la RAM pour l’Amérique du Sud, résume l’esprit : « L’art a le pouvoir de créer des ponts entre les peuples, et nous sommes là pour faciliter ces rencontres. »
En clair, l’avion devient un peu comme un TGV des imaginaires. Et dans le cockpit, le Maroc ne se contente pas d’être une escale, il devient un nœud stratégique entre l’Afrique et les Amériques.
Andrea Pinheiro, présidente de la Fondation de la Biennale, salue elle aussi cette collaboration « qui raccourcit les distances et ouvre la voie à une coopération plus horizontale entre les pays du Sud ».
A suivre en altitude
Alors, est-ce qu’on ira voir la Biennale de São Paulo ? Peut-être pas tous. Mais savoir que l’art marocain voyage en première classe et qu’il contribue à une plus grande visibilité des artistes africains et latino-américains donne envie de suivre cette aventure.


