Dans une mise au point, l’Agence nationale des eaux et forêts précise que son intervention s’est déroulée sous la supervision du Parquet près le Tribunal de Première Instance de Chefchaouen, dans la limite de l’application de la loi, et conformément à ses prérogatives.
Les perroquets en question font partie des spécimens de la loi n° 29.05 relative à la protection des espèces de faune et de flore sauvages et au contrôle de leur commerce, ajoute-t-on de même source, notant que le guide touristique ne disposait ni des autorisations nécessaires pour leur détention, ni de documents prouvant qu’ils avaient été acquis conformément aux dispositions de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES).