"(Y)our Mother" : un cri du cœur primé à Amman
Quand le cinéma devient une thérapie, il donne naissance à des œuvres comme "(Y)our Mother". Le documentaire marocain réalisé par Samira El Mouzghibati vient de décrocher le Prix du meilleur long métrage documentaire arabe à la 6e édition du Festival international du film d’Amman – Awal Film. Une consécration pour cette œuvre intime qui plonge dans les méandres d’un passé familial marqué par le silence et la mise à l’écart.
Zoom sur une œuvre personnelle et universelle
Dans "(Y)our Mother", Samira El Mouzghibati ne se contente pas de raconter une histoire : elle ouvre une porte longtemps verrouillée. Le film retrace le parcours de la réalisatrice et de ses sœurs, confrontées à un passé familial douloureux où leur mère a été mise à l’écart. À travers une réunion filmée, Samira offre à cette dernière une chance unique de raconter sa version des faits, brisant ainsi des années de silence et d’incompréhension.
Formée à l’INSAS de Bruxelles, Samira El Mouzghibati apporte à son documentaire une touche à la fois sensible et maîtrisée. Son parcours entre Genève, Marrakech, Marseille et Bruxelles nourrit son regard artistique, lui permettant de traiter un sujet profondément personnel avec une résonance universelle.
Le film est une catharsis, mais aussi une réflexion sur les dynamiques familiales. Il pose des questions essentielles : comment le silence peut-il devenir une arme ? Comment reconstruit-on les liens après des années de fractures ?
Un documentaire à voir absolument
Avec "(Y)our Mother", Samira El Mouzghibati prouve que le cinéma marocain peut rivaliser sur la scène internationale en mêlant émotion brute et regard artistique. Ce film est une invitation à réfléchir sur nos propres histoires familiales, sur les silences qui nous habitent et sur la possibilité de les transformer en dialogue.
À voir absolument si vous aimez les œuvres introspectives comme "For Sama" ou "La Maison de la Mer". Et si vous êtes du genre à chercher des films qui résonnent longtemps après le générique, "(Y)our Mother" est fait pour vous.
En attendant une projection au Maroc, on ne peut que saluer cette victoire qui inscrit le cinéma marocain dans une dynamique de création audacieuse et universelle.
Zoom sur une œuvre personnelle et universelle
Dans "(Y)our Mother", Samira El Mouzghibati ne se contente pas de raconter une histoire : elle ouvre une porte longtemps verrouillée. Le film retrace le parcours de la réalisatrice et de ses sœurs, confrontées à un passé familial douloureux où leur mère a été mise à l’écart. À travers une réunion filmée, Samira offre à cette dernière une chance unique de raconter sa version des faits, brisant ainsi des années de silence et d’incompréhension.
Formée à l’INSAS de Bruxelles, Samira El Mouzghibati apporte à son documentaire une touche à la fois sensible et maîtrisée. Son parcours entre Genève, Marrakech, Marseille et Bruxelles nourrit son regard artistique, lui permettant de traiter un sujet profondément personnel avec une résonance universelle.
Le film est une catharsis, mais aussi une réflexion sur les dynamiques familiales. Il pose des questions essentielles : comment le silence peut-il devenir une arme ? Comment reconstruit-on les liens après des années de fractures ?
Un documentaire à voir absolument
Avec "(Y)our Mother", Samira El Mouzghibati prouve que le cinéma marocain peut rivaliser sur la scène internationale en mêlant émotion brute et regard artistique. Ce film est une invitation à réfléchir sur nos propres histoires familiales, sur les silences qui nous habitent et sur la possibilité de les transformer en dialogue.
À voir absolument si vous aimez les œuvres introspectives comme "For Sama" ou "La Maison de la Mer". Et si vous êtes du genre à chercher des films qui résonnent longtemps après le générique, "(Y)our Mother" est fait pour vous.
En attendant une projection au Maroc, on ne peut que saluer cette victoire qui inscrit le cinéma marocain dans une dynamique de création audacieuse et universelle.


