Le Maroc a fait des progrès notables dans le développement de ses services publics numériques, atteignant un total de 100 services disponibles, couvrant divers secteurs tels que l'administration, l'éducation, la santé et d'autres domaines d'utilité publique.
Cependant, malgré ces avancées, le score de 0,42 obtenu selon l'indice GEMS (Government Electronic and Mobile Services Index) met en lumière la nécessité d'une modernisation plus accrue pour rivaliser avec les plateformes numériques des pays du Golfe, qui ont enregistré des performances significativement meilleures.
Ces derniers bénéficient souvent d'importants investissements dans les infrastructures numériques, d'une adoption rapide des technologies émergentes comme l'intelligence artificielle et la blockchain, ainsi que d'une réglementation proactive pour supporter leurs plateformes numériques.
Les étapes essentielles pour que le Maroc rattrape ce retard pourraient inclure une augmentation des investissements publics et privés dans l'écosystème numérique, une adoption accélérée des technologies avancées, ainsi que le renforcement de l'inclusivité des services numériques pour couvrir les zones rurales et les populations vulnérables. En outre, une collaboration renforcée entre les secteurs public et privé, combinée à une mise à jour régulière des cadres réglementaires et à une amélioration de l’expérience utilisateur (UX) des plateformes numériques, serait cruciale pour maximiser l’impact des services en ligne.
Enfin, des efforts pour sensibiliser et former la population à l'utilisation des outils numériques contribueront aussi à augmenter l'adoption et l'engagement citoyen sur ces plateformes, permettant ainsi au Maroc de renforcer ses capacités numériques et de réduire l'écart avec les leaders régionaux.
Cependant, malgré ces avancées, le score de 0,42 obtenu selon l'indice GEMS (Government Electronic and Mobile Services Index) met en lumière la nécessité d'une modernisation plus accrue pour rivaliser avec les plateformes numériques des pays du Golfe, qui ont enregistré des performances significativement meilleures.
Ces derniers bénéficient souvent d'importants investissements dans les infrastructures numériques, d'une adoption rapide des technologies émergentes comme l'intelligence artificielle et la blockchain, ainsi que d'une réglementation proactive pour supporter leurs plateformes numériques.
Les étapes essentielles pour que le Maroc rattrape ce retard pourraient inclure une augmentation des investissements publics et privés dans l'écosystème numérique, une adoption accélérée des technologies avancées, ainsi que le renforcement de l'inclusivité des services numériques pour couvrir les zones rurales et les populations vulnérables. En outre, une collaboration renforcée entre les secteurs public et privé, combinée à une mise à jour régulière des cadres réglementaires et à une amélioration de l’expérience utilisateur (UX) des plateformes numériques, serait cruciale pour maximiser l’impact des services en ligne.
Enfin, des efforts pour sensibiliser et former la population à l'utilisation des outils numériques contribueront aussi à augmenter l'adoption et l'engagement citoyen sur ces plateformes, permettant ainsi au Maroc de renforcer ses capacités numériques et de réduire l'écart avec les leaders régionaux.