Vers une montée en gamme de la production nationale
Dans une annonce qui fait date, Stellantis, géant mondial de l’automobile, a choisi le Maroc pour la production de la prochaine génération de la Citroën C4. Dès 2027, le modèle emblématique de la marque aux chevrons sortira des lignes de l’usine de Kénitra, une décision qui s’inscrit dans la stratégie de rationalisation et de montée en gamme du groupe. Ce choix n’est pas anodin : il témoigne du dynamisme industriel marocain, porté par des infrastructures modernes, une main-d’œuvre qualifiée et une politique incitative favorable aux investissements étrangers.
Jusqu’à présent, la Citroën C4 était fabriquée en Espagne, à Madrid-Villaverde. Le transfert de la production vers Kénitra, qui concerne les versions essence, diesel et électrique, s’accompagne d’un renforcement des capacités locales et d’une volonté affichée de Stellantis d’optimiser ses coûts tout en profitant de la proximité logistique avec l’Europe et l’Afrique. Les marocains ne peuvent que saluer cette évolution, qui devrait générer des milliers d’emplois directs et indirects, tout en consolidant l’écosystème automobile national déjà porté par des acteurs majeurs comme Renault et PSA.
La montée en puissance de l’usine de Kénitra, opérationnelle depuis 2019, illustre l’attractivité du Maroc pour les industriels du secteur. Le site, conçu selon les standards internationaux, bénéficie d’une connectivité optimale avec les ports de Casablanca et Tanger Med, facilitant l’exportation vers les marchés européens et africains. Selon les experts, la production de la Citroën C4 au Maroc devrait permettre au pays d’augmenter ses volumes d’exportation et de renforcer sa compétitivité face à des concurrents comme la Turquie ou la Roumanie.
Cette décision stratégique s’inscrit également dans une tendance globale de relocalisation et de diversification des sites de production pour répondre aux enjeux de flexibilité et de résilience industrielle. Pour le Maroc, il s’agit d’une reconnaissance de son savoir-faire et de sa capacité à accueillir des projets d’envergure, tout en offrant un environnement favorable à l’innovation et à la formation des talents locaux. Les retombées attendues sont considérables, tant en termes d’emplois que de transfert de technologie et de montée en compétences.
En somme, la future production de la Citroën C4 au Maroc confirme l’ambition du royaume de devenir un hub industriel régional, capable de rivaliser avec les grands pôles mondiaux de l’automobile. Ce projet, porté par Stellantis, ouvre de nouvelles perspectives pour le secteur et témoigne de la confiance des investisseurs internationaux dans le potentiel du pays.
Jusqu’à présent, la Citroën C4 était fabriquée en Espagne, à Madrid-Villaverde. Le transfert de la production vers Kénitra, qui concerne les versions essence, diesel et électrique, s’accompagne d’un renforcement des capacités locales et d’une volonté affichée de Stellantis d’optimiser ses coûts tout en profitant de la proximité logistique avec l’Europe et l’Afrique. Les marocains ne peuvent que saluer cette évolution, qui devrait générer des milliers d’emplois directs et indirects, tout en consolidant l’écosystème automobile national déjà porté par des acteurs majeurs comme Renault et PSA.
La montée en puissance de l’usine de Kénitra, opérationnelle depuis 2019, illustre l’attractivité du Maroc pour les industriels du secteur. Le site, conçu selon les standards internationaux, bénéficie d’une connectivité optimale avec les ports de Casablanca et Tanger Med, facilitant l’exportation vers les marchés européens et africains. Selon les experts, la production de la Citroën C4 au Maroc devrait permettre au pays d’augmenter ses volumes d’exportation et de renforcer sa compétitivité face à des concurrents comme la Turquie ou la Roumanie.
Cette décision stratégique s’inscrit également dans une tendance globale de relocalisation et de diversification des sites de production pour répondre aux enjeux de flexibilité et de résilience industrielle. Pour le Maroc, il s’agit d’une reconnaissance de son savoir-faire et de sa capacité à accueillir des projets d’envergure, tout en offrant un environnement favorable à l’innovation et à la formation des talents locaux. Les retombées attendues sont considérables, tant en termes d’emplois que de transfert de technologie et de montée en compétences.
En somme, la future production de la Citroën C4 au Maroc confirme l’ambition du royaume de devenir un hub industriel régional, capable de rivaliser avec les grands pôles mondiaux de l’automobile. Ce projet, porté par Stellantis, ouvre de nouvelles perspectives pour le secteur et témoigne de la confiance des investisseurs internationaux dans le potentiel du pays.
