Ce rendez-vous s’annonce comme une célébration de la littérature, mais aussi comme une réflexion sur des thématiques sociétales poignantes. Barce, connu pour ses récits captivants et empreints d’une profonde humanité, revient ici au genre du roman policier, tout en abordant des sujets sombres et complexes.
Ce nouveau roman, dont l’intrigue principale se déroule à Malaga, ne pouvait toutefois se passer de l’atmosphère unique de Tanger, une ville qui inspire l’écrivain depuis toujours. Dans cette œuvre au rythme haletant, Barce explore les méandres de la violence et des abus, en mettant en lumière le sort tragique des femmes maltraitées. À travers une narration immersive et des personnages aux multiples facettes, il dépeint un tableau poignant des injustices sociales. Cette thématique résonne particulièrement dans le contexte actuel, où les voix s’élèvent partout dans le monde pour dénoncer les violences faites aux femmes. Le choix de Tanger comme décor n’est pas anodin : cette ville, carrefour de cultures et d’histoires, devient un personnage à part entière, reflet des tensions et des espoirs qui traversent le récit.
Sergio Barce n’est pas un inconnu dans le paysage littéraire hispanophone. Né à Larache et diplômé en droit, il a su s’imposer comme une figure incontournable grâce à une plume à la fois sensible et incisive. Parmi ses œuvres les plus notables, on retrouve « En el jardín de las Hespérides » (2000), « Sombras en sepia » (2006), qui lui a valu le Premier Prix du Roman Trois Cultures de Murcie, ou encore « Una sirena se ahogó en Larache » (2011), finaliste du Prix de la Critique du Roman d’Andalousie. Son roman « La emperatriz de Tánger » (2015) a également été largement salué, atteignant les finales du prestigieux Prix Vargas Llosa.
Avec « Tout finit à Marcela », Sergio Barce confirme son talent pour tisser des intrigues captivantes tout en abordant des problématiques humaines universelles. La présentation prévue à l’Institut Cervantès promet d’être un moment fort pour les amateurs de littérature et les défenseurs des droits humains.
Ce nouveau roman, dont l’intrigue principale se déroule à Malaga, ne pouvait toutefois se passer de l’atmosphère unique de Tanger, une ville qui inspire l’écrivain depuis toujours. Dans cette œuvre au rythme haletant, Barce explore les méandres de la violence et des abus, en mettant en lumière le sort tragique des femmes maltraitées. À travers une narration immersive et des personnages aux multiples facettes, il dépeint un tableau poignant des injustices sociales. Cette thématique résonne particulièrement dans le contexte actuel, où les voix s’élèvent partout dans le monde pour dénoncer les violences faites aux femmes. Le choix de Tanger comme décor n’est pas anodin : cette ville, carrefour de cultures et d’histoires, devient un personnage à part entière, reflet des tensions et des espoirs qui traversent le récit.
Sergio Barce n’est pas un inconnu dans le paysage littéraire hispanophone. Né à Larache et diplômé en droit, il a su s’imposer comme une figure incontournable grâce à une plume à la fois sensible et incisive. Parmi ses œuvres les plus notables, on retrouve « En el jardín de las Hespérides » (2000), « Sombras en sepia » (2006), qui lui a valu le Premier Prix du Roman Trois Cultures de Murcie, ou encore « Una sirena se ahogó en Larache » (2011), finaliste du Prix de la Critique du Roman d’Andalousie. Son roman « La emperatriz de Tánger » (2015) a également été largement salué, atteignant les finales du prestigieux Prix Vargas Llosa.
Avec « Tout finit à Marcela », Sergio Barce confirme son talent pour tisser des intrigues captivantes tout en abordant des problématiques humaines universelles. La présentation prévue à l’Institut Cervantès promet d’être un moment fort pour les amateurs de littérature et les défenseurs des droits humains.


