Une rentrée littéraire aux accents andalous
Ce Vendredi, la Maison de la Poésie de Tétouan (Dar Chiir) donnera le coup d’envoi de sa dixième saison culturelle et poétique. Au menu : une soirée en plein air, dès 18h, sur la scène d’Agora dans le Centre culturel Iklil. Trois voix prendront le micro: Abdelkader El Alami, Dami Omar et Youssef Rkibi, pour offrir un panorama de la poésie marocaine contemporaine, entre héritage soufi, souffle amazigh et expérimentations modernes.
Mais cette fois, la poésie ne viendra pas seule. La chanteuse marocaine Yousra Dardabi assurera l’intermède musical, en revisitant des poèmes mis en musique tirés du riche répertoire arabe, marocain et andalou.
Zoom sur un rituel culturel
Depuis sa création en 2016, grâce à une collaboration entre le ministère marocain de la Culture et la direction de la Culture de Sharjah, Dar Chiir a imposé un nouveau rituel : ouvrir chaque année par une soirée poétique qui sert à la fois de vitrine et de brainstorming collectif. L’idée ? Faire de la poésie un espace participatif, où poètes, critiques, musiciens et spectateurs contribuent à tracer la programmation de l’année.
Ce n’est donc pas un simple spectacle, mais une agora au sens antique, discussion, échange, circulation des idées. Et ce n’est pas un hasard si l’événement se déroule dans un espace qui reprend l’architecture d’un théâtre romain miniature, clin d’œil à la cité antique de Tamuda (Tétouan) et au théâtre de Lixus à Larache, considéré comme le plus ancien du Maroc.
Alors, faut-il y aller ? La réponse est oui, surtout si vous aimez les soirées où un vers peut s’embraser au contact d’un luth. Dix ans après sa création, Dar Chiir confirme que la poésie, loin d’être poussiéreuse, peut encore réunir du monde et se réinventer dans des formats vivants.
Mais cette fois, la poésie ne viendra pas seule. La chanteuse marocaine Yousra Dardabi assurera l’intermède musical, en revisitant des poèmes mis en musique tirés du riche répertoire arabe, marocain et andalou.
Zoom sur un rituel culturel
Depuis sa création en 2016, grâce à une collaboration entre le ministère marocain de la Culture et la direction de la Culture de Sharjah, Dar Chiir a imposé un nouveau rituel : ouvrir chaque année par une soirée poétique qui sert à la fois de vitrine et de brainstorming collectif. L’idée ? Faire de la poésie un espace participatif, où poètes, critiques, musiciens et spectateurs contribuent à tracer la programmation de l’année.
Ce n’est donc pas un simple spectacle, mais une agora au sens antique, discussion, échange, circulation des idées. Et ce n’est pas un hasard si l’événement se déroule dans un espace qui reprend l’architecture d’un théâtre romain miniature, clin d’œil à la cité antique de Tamuda (Tétouan) et au théâtre de Lixus à Larache, considéré comme le plus ancien du Maroc.
Alors, faut-il y aller ? La réponse est oui, surtout si vous aimez les soirées où un vers peut s’embraser au contact d’un luth. Dix ans après sa création, Dar Chiir confirme que la poésie, loin d’être poussiéreuse, peut encore réunir du monde et se réinventer dans des formats vivants.


