Quand j’ai lancé Time-Telling Magazine, mon objectif était simple : raconter des histoires. Pas seulement celles des montres, mais aussi celles des gens qui les imaginent, les portent, les vivent. Très vite, le magazine s’est imposé comme une voix nouvelle dans l’univers horloger. Avec un ton libre, curieux, jeune et surtout sincère.

Ce que rend aussi le magazine Time-Telling beaucoup plus intéressant, est le fait d’être le premier magazine horloger africain. Une plateforme indépendante née d’une passion profonde pour les montres, mais aussi d’un besoin d’élargir la conversation au-delà des centres traditionnels du luxe. Aujourd’hui, nos lecteurs viennent de plus de 50 pays, et les retours sont souvent les mêmes : « Enfin on nous représentent, nous les amateurs d’horlogerie africains ».

Il manquait cependant un pont plus clair entre ce projet et mes racines. Je suis marocain. Et c’est précisément pour ça que je suis très fier d’annoncer aujourd’hui notre partenariat avec le journal L’Opinion et son magazine digital L’ODJ (L’Opinion des Jeunes).

Ce partenariat, c’est bien plus qu’un échange de contenus. C’est une façon concrète de rapprocher l’univers de l’horlogerie de luxe d’un lectorat marocain et africain: jeune, cultivé, curieux, et avide de découvertes. À partir d’aujourd’hui, les articles de Time-Telling Magazine seront publiés à la fois sur timetellingmagazine.com et sur lodj.ma. Et ce n’est que le début.

J’ai eu le plaisir de raconter mon histoire dans une interview exclusive enregistrée avec L’ODJ, qui sera bientôt disponible. Où l’on discute de montres, bien sûr, mais aussi de culture, d’indépendance éditoriale, et de ce que signifie vraiment “prendre le temps” dans un monde obnubilé par la vitesse.

L’un des objectifs de cette collaboration est aussi d’ouvrir les colonnes de L’Opinion et L’ODJ à un univers souvent méconnu mais passionnant : celui du luxe, et plus précisément de la haute horlogerie. Un monde d’artisans, de traditions, de détails fascinants, bien loin des clichés.

Pour éveiller votre curiosité, voici quelques fun facts horlogers : saviez-vous qu’il existe un horloger suisse qui fabrique des pièces inspirées de la calligraphie arabe ? Ou qu’une des montres les plus rares au monde a été vendue à un collectionneur basé à Casablanca ? Ces histoires, on va maintenant les raconter ici, chez nous.

Ce partenariat, c’est une manière de faire découvrir le monde des montres, sans bouger le poignet. Et surtout, c’est une invitation pour chaque lecteur marocain et africain à s’approprier et de se submerger dans ce monde fascinant. Parce que l’horlogerie, au fond, c’est une question de rythme. Et c’est le bon moment pour que le nôtre résonne plus fort que jamais.