Voici une explication claire et sans jargon :
1. D’un web consultatif à un web “agentique”
Jusqu’ici, le web fonctionnait comme un vaste supermarché de l’information. Tu devais chercher, comparer, cliquer, lire, décider.
Avec le web agentique, ce n’est plus toi qui explores le web, c’est ton agent IA qui le fait à ta place.
Un exemple simple :
Au lieu de chercher toi-même “les meilleurs vols pour Casablanca mardi prochain”, tu dis à ton agent :
2. C’est quoi, un “agent” exactement ?
Un agent, dans ce contexte, est une IA capable d’agir dans le monde numérique :
il comprend des instructions complexes, prend des décisions, interagit avec des sites, écrit des mails, passe des commandes, etc.
C’est une évolution du simple chatbot vers quelque chose de proactif, autonome et connecté à des services réels (API, plateformes, banques, etc.).
On parle souvent de “web of agents” — un écosystème où ton agent, celui d’Amazon, celui de ton assureur, et celui de ton entreprise discutent directement entre eux.
3. Ce que ça change pour le web
C’est un changement de paradigme : le web n’est plus navigué par des humains, mais par des agents qui te représentent.
Conséquence :
Les interfaces web classiques (sites, formulaires, pubs) deviennent secondaires.
Ce qui compte, c’est l’interopérabilité entre agents (API, protocoles ouverts, données structurées).
Le référencement évolue : on ne cherche plus à séduire des humains, mais à informer des agents IA.
C’est un peu comme si Google avait un cerveau conversationnel branché sur tout le web — mais pour toi seul.
4. Les acteurs déjà en piste
OpenAI, avec ses GPTs personnalisés, pousse clairement ce modèle.
Anthropic, Google, Meta et Microsoft développent leurs propres systèmes d’“agents connectés”.
Des startups comme Lindy, Humane, Rabbit ou Inflection AI essaient de créer des “assistants de vie numérique” permanents.
5. Et pour les médias, les marques, les citoyens ?
Les médias devront produire des contenus lisibles par des agents IA.
Les marques devront négocier avec des agents, pas seulement séduire des humains.
Et les citoyens devront apprendre à former, superviser et auditer leurs propres agents — un nouveau type d’“alphabétisation numérique”.
Le web agentique, c’est donc l’Internet des agents, un web où tu ne navigues plus : tu délègues.
L’enjeu, désormais, sera de garder le contrôle sur ces délégations.
Jusqu’ici, le web fonctionnait comme un vaste supermarché de l’information. Tu devais chercher, comparer, cliquer, lire, décider.
Avec le web agentique, ce n’est plus toi qui explores le web, c’est ton agent IA qui le fait à ta place.
Un exemple simple :
Au lieu de chercher toi-même “les meilleurs vols pour Casablanca mardi prochain”, tu dis à ton agent :
“Organise-moi un voyage à Casablanca mardi, avec un vol direct, hôtel 4 étoiles et budget de 600 € max.”Et il s’en charge — recherche, comparaison, réservation, paiement inclus.
2. C’est quoi, un “agent” exactement ?
Un agent, dans ce contexte, est une IA capable d’agir dans le monde numérique :
il comprend des instructions complexes, prend des décisions, interagit avec des sites, écrit des mails, passe des commandes, etc.
C’est une évolution du simple chatbot vers quelque chose de proactif, autonome et connecté à des services réels (API, plateformes, banques, etc.).
On parle souvent de “web of agents” — un écosystème où ton agent, celui d’Amazon, celui de ton assureur, et celui de ton entreprise discutent directement entre eux.
3. Ce que ça change pour le web
C’est un changement de paradigme : le web n’est plus navigué par des humains, mais par des agents qui te représentent.
Conséquence :
Les interfaces web classiques (sites, formulaires, pubs) deviennent secondaires.
Ce qui compte, c’est l’interopérabilité entre agents (API, protocoles ouverts, données structurées).
Le référencement évolue : on ne cherche plus à séduire des humains, mais à informer des agents IA.
C’est un peu comme si Google avait un cerveau conversationnel branché sur tout le web — mais pour toi seul.
4. Les acteurs déjà en piste
OpenAI, avec ses GPTs personnalisés, pousse clairement ce modèle.
Anthropic, Google, Meta et Microsoft développent leurs propres systèmes d’“agents connectés”.
Des startups comme Lindy, Humane, Rabbit ou Inflection AI essaient de créer des “assistants de vie numérique” permanents.
5. Et pour les médias, les marques, les citoyens ?
Les médias devront produire des contenus lisibles par des agents IA.
Les marques devront négocier avec des agents, pas seulement séduire des humains.
Et les citoyens devront apprendre à former, superviser et auditer leurs propres agents — un nouveau type d’“alphabétisation numérique”.
Le web agentique, c’est donc l’Internet des agents, un web où tu ne navigues plus : tu délègues.
L’enjeu, désormais, sera de garder le contrôle sur ces délégations.