L’Algérie, obsédée par son complexe de naissance tardive, n’a jamais supporté l’existence, à ses frontières, d’une monarchie millénaire dont l’autorité jaillit de la profondeur du temps et du consensus populaire.
Pour tenter d’exister face au modèle marocain, elle a fabriqué deux fictions, le Polisario et la RASD, comme on créé une ombre pour masquer le soleil.
Mais une ombre ne devient jamais un corps. Pendant cinquante ans, l’armée algérienne a dépensé des milliards, entretenu des camps de misère à Tindouf, acheté des soutiens diplomatiques, nourri des nostalgies de guerre froide, espérant qu’à force de crier, le mensonge devienne géographie.
En vain. Chaque année qui passe rappelle à Alger que la légitimité ne s’achète pas, qu’un drapeau ne se coud pas à coups de pétrodollars, et que les peuples ne se fabriquent pas en laboratoire sécuritaire.
Mais une ombre ne devient jamais un corps. Pendant cinquante ans, l’armée algérienne a dépensé des milliards, entretenu des camps de misère à Tindouf, acheté des soutiens diplomatiques, nourri des nostalgies de guerre froide, espérant qu’à force de crier, le mensonge devienne géographie.
En vain. Chaque année qui passe rappelle à Alger que la légitimité ne s’achète pas, qu’un drapeau ne se coud pas à coups de pétrodollars, et que les peuples ne se fabriquent pas en laboratoire sécuritaire.
L’Espagne, elle, oscillante, fragile, porte encore ses propres démons coloniaux. Hier puissance occupante, aujourd’hui partenaire sous surveillance historique, elle a souvent choisi le confort de l’ambiguïté. Tantôt instrumentalisant la question saharienne, tantôt feignant la neutralité, elle a tenté de garder un pied dans sa mémoire impériale tout en profitant des fruits de la coopération marocaine.
Jusqu’à ce que la realpolitik, brutale mais lucide, la ramène à l’évidence : dans cette région du monde, la paix, la stabilité et l’avenir passent par Rabat. Non par nostalgie d’Ifni ni par illusions canariennes, mais par nécessité stratégique.
Jusqu’à ce que la realpolitik, brutale mais lucide, la ramène à l’évidence : dans cette région du monde, la paix, la stabilité et l’avenir passent par Rabat. Non par nostalgie d’Ifni ni par illusions canariennes, mais par nécessité stratégique.
Quant aux puissances africaines et européennes qui, tour à tour, ont joué la carte du Sahara contre le Maroc, elles auront appris, souvent à leurs dépens, que rabaisser un peuple qui se sait héritier d’un empire n’est pas stratégie, mais pure illusion.
Du Congo des années 70 aux manœuvres diplomatiques de l’Union africaine, du Quai d’Orsay aux vieilles rancœurs françafricaines, beaucoup ont parié sur l’usure du Maroc, sur son isolement, sur son incapacité à durer.
Ils ont oublié cette vérité que l’histoire marocaine répète depuis Idriss Iᵉʳ : ce pays ne s’effrite pas sous la pression. Il se resserre. Il devient compact, dense, mûr. Chaque attaque extérieure nourrit un réflexe intérieur : défendre l’essentiel, sauver l’unité, réaffirmer la continuité.
Ils ont oublié cette vérité que l’histoire marocaine répète depuis Idriss Iᵉʳ : ce pays ne s’effrite pas sous la pression. Il se resserre. Il devient compact, dense, mûr. Chaque attaque extérieure nourrit un réflexe intérieur : défendre l’essentiel, sauver l’unité, réaffirmer la continuité.
Ceux qui rêvaient de voir le Maroc céder un jour sur son Sahara se heurtent désormais à un monde qui tourne. Washington l’a compris, les capitales africaines le confirment, les chancelleries européennes murmurent ce qu’elles n’osaient admettre hier : le Sahara est marocain, politiquement, historiquement, humainement.
Et chaque pierre posée à Dakhla, chaque école ouverte à Laâyoune, chaque port, chaque turbine éolienne, chaque jeune Sahraoui diplômé est un acte de souveraineté indiscutable, un démenti cinglant aux prophètes du morcellement.
Et chaque pierre posée à Dakhla, chaque école ouverte à Laâyoune, chaque port, chaque turbine éolienne, chaque jeune Sahraoui diplômé est un acte de souveraineté indiscutable, un démenti cinglant aux prophètes du morcellement.
L’histoire retiendra qu’un pays, longtemps considéré comme périphérique, a tenu seul, par la seule force de sa foi en lui-même, face à des coalitions visibles et invisibles.
Elle retiendra un Maroc qui a fait de sa géographie un destin et de son Sahara une certitude. Elle retiendra un peuple qui ne négocie pas son existence, un Roi dont la vision a transformé un désert contesté en horizon de civilisation, et une diplomatie qui a su conjuguer patience stratégique, fermeté calme et intelligence globale.
Les nations se mesurent à ce qu’elles refusent de perdre. Pour le Maroc, le Sahara n’est pas une terre parmi d’autres : c’est le sud de son cœur, le levier de son avenir continental, la colonne vertébrale de son identité profonde. Tous contre un, un contre tous : cette devise résume un siècle de rapports de force, mais aussi un siècle de victoire silencieuse.
Le Maroc n’a jamais voulu l’affrontement. Mais il n’a jamais accepté la spoliation. L’histoire a tranché. Le reste n’est que délai administratif du monde. Le Maroc aura le dernier mot parce qu’il a eu, dès le premier jour, la vérité avec lui.
Le Maroc n’a jamais voulu l’affrontement. Mais il n’a jamais accepté la spoliation. L’histoire a tranché. Le reste n’est que délai administratif du monde. Le Maroc aura le dernier mot parce qu’il a eu, dès le premier jour, la vérité avec lui.
