Y ont participé le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, le président du Comité local d’organisation, Fouzi Lekjaa, ainsi que les walis des six villes hôtes — Rabat, Casablanca, Agadir, Marrakech, Fès et Tanger — présents en personne ou par visioconférence.
La session de travail a dressé un bilan précis des projets engagés dans la perspective du tournoi, prévu du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 : infrastructures sportives, accessibilité, dispositifs de transport urbain, sécurisation des flux, aménagement des abords des stades et déploiement des fan zones. Chaque dimension logistique, technique et opérationnelle a été passée en revue.
Selon les sources consultées par Hesport, l’état d’avancement a été jugé « pleinement satisfaisant », le Maroc abordant la dernière ligne droite avec maîtrise et confiance. Les responsables ont salué la cadence soutenue des travaux, en particulier dans les secteurs clés que sont la mobilité, l’accueil du public et la modernisation des infrastructures sportives et annexes.
L’objectif est clair : offrir à l’Afrique une compétition répondant aux standards les plus élevés de l’événementiel sportif international, tout en démontrant la capacité du continent à mener des projets d’envergure avec rigueur et professionnalisme.
Les villes hôtes affinent désormais leurs derniers préparatifs :
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Casablanca et Rabat, pôles administratifs et sportifs majeurs ;
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Tanger, dont le stade et les infrastructures urbaines ont été largement modernisés ;
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Marrakech, Agadir et Fès, fortes de leur expérience dans l’organisation de grands événements.
Au-delà de la dimension sportive, les autorités voient dans cette CAN une opportunité de renforcer l’attractivité internationale du pays, d’améliorer durablement ses infrastructures urbaines et de mobiliser des milliers de professionnels autour d’un projet fédérateur.
La réunion du 19 novembre confirme que le Maroc aborde la compétition avec sérénité. La dernière étape consistera à finaliser les ajustements techniques et opérationnels avant l’arrivée des équipes, officiels, médias et supporters.
La CAN 2025 s’annonce ainsi comme un test majeur et une démonstration de capacité : le Maroc veut prouver que lorsqu’il mobilise ses moyens, l’Afrique est prête à accueillir les plus grands rendez-vous sportifs au meilleur niveau.