Poème à écouter en musique de Basma ELHAJAMI
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Basma ELHAJAMI
I count the steps, the hours, the weight of waiting.
The mirror hums a silent truth—
effort wrapped in stillness,
motion locked in place.
I’ve cut the excess, measured the cost,
swallowed the hunger,
but the body stays unmoved—
a mountain unmoved by the wind.
Each day, the same routine—
a quiet war between what I want
and what refuses to leave.
I carve myself out of habit,
out of discipline,
out of a hunger for change.
Still, the fabric clings the same,
the stomach folds into itself,
the scale mocks in numbers that do not shift.
Yet I move,
yet I climb,
yet I fight.
Because even the stubborn earth
bows to the river
that never stops flowing.
Ce poème exprime la lutte intérieure d’une personne face à un changement corporel qui semble inatteignable.
This poem captures the internal struggle of someone striving for physical change yet seeing no visible progress. Despite relentless effort—exercise, discipline, and self-denial—their reflection remains unchanged, like a mountain unaffected by the wind. Each day feels like a silent war between desire and resistance, between effort and an unyielding body. The repetition of Yet emphasizes unwavering perseverance in the face of frustration. Though the scale refuses to move, the fight continues. The poem ends with a hopeful metaphor: just as a river slowly carves through stubborn earth, persistence will eventually lead to transformation. It’s a powerful reflection on resilience, patience, and the unseen impact of perseverance.
Ce poème exprime la lutte intérieure d’une personne face à un changement corporel qui semble inatteignable. Malgré les efforts constants — l'exercice, la discipline, la privation — les résultats restent imperceptibles. Le miroir reflète une vérité frustrante : le mouvement existe, mais le progrès semble figé, comme une montagne insensible au vent. Chaque jour devient une bataille silencieuse entre le désir de transformation et la résistance du corps. Pourtant, malgré la stagnation apparente, la détermination demeure intacte. La répétition du mot Yet souligne cette persévérance inébranlable. La conclusion apporte une lueur d’espoir : comme l’eau qui sculpte la roche avec le temps, la persévérance finit par triompher. Ainsi, ce poème illustre la ténacité face à l’adversité et l’importance du combat intérieur pour atteindre le changement, même lorsque les résultats ne sont pas immédiatement visibles.
Ce poème exprime la lutte intérieure d’une personne face à un changement corporel qui semble inatteignable. Malgré les efforts constants — l'exercice, la discipline, la privation — les résultats restent imperceptibles. Le miroir reflète une vérité frustrante : le mouvement existe, mais le progrès semble figé, comme une montagne insensible au vent. Chaque jour devient une bataille silencieuse entre le désir de transformation et la résistance du corps. Pourtant, malgré la stagnation apparente, la détermination demeure intacte. La répétition du mot Yet souligne cette persévérance inébranlable. La conclusion apporte une lueur d’espoir : comme l’eau qui sculpte la roche avec le temps, la persévérance finit par triompher. Ainsi, ce poème illustre la ténacité face à l’adversité et l’importance du combat intérieur pour atteindre le changement, même lorsque les résultats ne sont pas immédiatement visibles.