En hiver, la lumière du soleil étant moins intense, de nombreuses personnes voient leur taux de vitamine D diminuer, ce qui peut entraîner fatigue, fragilité osseuse ou baisse des défenses immunitaires. Certains groupes, comme les personnes âgées, les personnes à peau foncée ou celles vivant dans des zones peu ensoleillées, sont particulièrement exposés à une carence.
Toutefois, il n’est pas systématiquement nécessaire de se supplémenter. Une alimentation riche en poissons gras, œufs, produits laitiers et champignons, combinée à des expositions solaires régulières lorsque c’est possible, peut suffire à maintenir des niveaux adéquats.
Avant d’entamer une supplémentation, il est recommandé de consulter un professionnel de santé et, si besoin, de faire un dosage sanguin de la vitamine D pour adapter la prise à ses besoins réels.
En résumé, l’hiver peut justifier un apport supplémentaire en vitamine D pour certains profils à risque, mais une supplémentation généralisée n’est pas indispensable pour tous.