Les classements internationaux de compétitivité économique, comme celui du Forum économique mondial, mettent en avant des pays qui excellent dans l’innovation, la flexibilité du marché et l’efficacité administrative. Le Maroc, malgré ses investissements massifs dans les infrastructures et son attractivité croissante pour les investisseurs étrangers, reste en retrait. Zidane explique que les lourdeurs administratives et le manque de réformes ciblées plombent la compétitivité du pays.

Pour un Marocain, cela signifie que les opportunités d’emploi, les salaires et la qualité de vie pourraient être bien meilleures si ces freins étaient levés. Au niveau global, cela affecte l’image du Maroc comme destination économique et freine son ambition de devenir un hub régional.

Sur les réseaux sociaux, les avis divergent : certains dénoncent l’inefficacité de l’administration, tandis que d’autres rappellent les progrès réalisés ces dernières années. "On a construit des routes, des trains, mais où sont les réformes pour les jeunes entrepreneurs ?", commente un internaute.

Le Maroc peut-il rattraper son retard ? Zidane insiste sur l’urgence d’agir. Et vous, pensez-vous que les réformes viendront à temps pour changer la donne ?